Bíblia Católica
 

Isaïe, 57

1. Le juste périt, et personne n'y fait réflexion dans son coeur; les hommes de miséricorde sont enlevés, parce qu'il n'y a personne qui comprenne; car c'est pour être délivré de la malice que le juste a été enlevé.

Versículos relacionados com Isaïe, 57:

Ésaïe 57 est un chapitre qui parle d'idolâtrie et de l'infidélité d'Israël, ainsi que de la promesse de Dieu d'apporter la guérison et le salut à son peuple. Il y a aussi un avertissement à ceux qui font confiance à leur propre justice et désobéissent à Dieu. Voici cinq versets liés à ces thèmes:

Proverbes 14:12: "Il y a un moyen qui semble juste à l'homme, mais finalement mène à la mort." Ce verset met en garde contre la confiance dans notre propre sagesse et notre compréhension qui peuvent conduire à la mort spirituelle.

Jérémie 2:13: "Pour mon peuple, mon peuple a commis deux maux: ils m'ont abandonné la source d'eau vivante et ont creusé des citernes, des citernes craquées qui ne retiennent pas l'eau." Ici, Jérémie parle de l'infidélité d'Israël pour rechercher d'autres sources d'eau plutôt que de faire confiance à Dieu, la véritable source de vie.

Osée 14:1: "Revenez, ô Israël, au Seigneur, ton Dieu. Ses péchés les ont conduits à la chute!" Ce verset appelle Israël à se repentir et à retourner à Dieu, reconnaissant sa culpabilité dans sa chute spirituelle.

2 Chroniques 7:14: "Si mon peuple, qui est appelé par mon nom, s'humble, prie et poursuivre mon visage et s'éloigne de leurs mauvaises manières, du ciel, je les entendrai, pardonnerai leur péché et guérisse la terre." Ce verset offre la promesse de guérison et de restauration de Dieu à ceux qui se repentent et reviennent vers lui.

Ézéchiel 36:26: "Je vais vous donner un nouveau cœur et mettre un nouvel esprit en vous; je vous prends le cœur de la pierre et vous donnerai un cœur de chair." Ce verset parle de la promesse de Dieu de transformer le cœur de ceux qui se tournent vers lui, remplaçant la dureté et la froideur par un cœur plein d'amour et de compassion.





“É doce o viver e o penar para trazer benefícios aos irmãos e para tantas almas que, vertiginosamente, desejam se justificar no mal, a despeito do Bem Supremo.” São Padre Pio de Pietrelcina