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2 Chroniques, 21

12. On lui porta alors un écrit du prophète Elie qui disait ceci: "Ainsi parle Yahvé le Dieu de David ton père: Tu n'as pas suivi les traces de Josaphat ton père, ni celles d'Aza roi de Juda,

Wersety związane z 2 Chroniques, 21:

Le chapitre 21 de 2 Chroniques raconte l'histoire du roi Jeorão, fils de Jehoshaphat, qui a gouverné Juda après la mort de son père. Le chapitre décrit sa méchanceté et les conséquences de ce règne et de son peuple. Vous trouverez ci-dessous cinq versets liés aux sujets abordés dans le chapitre:

Proverbes 29:2: "Quand la règle juste, le peuple se réjouit; mais quand les méchants dominent, le peuple gémit." Ce verset parle de la relation entre la justice et la joie du peuple, quelque chose qui est négligé par Jeorão sous son règne.

Psaume 106:39: "Ils ont contaminé par leurs œuvres et se sont corrompus avec leurs actes de prostitution." Ce verset parle du péché et de la corruption que Jeorão a été impliquée, provoquant la dégradation morale du peuple de Juda.

Proverbes 10:27: "La peur du Seigneur étend la vie, mais la vie des méchants est abrégée." Ce verset décrit la punition reçue par Jeorão pour sa méchanceté, car sa vie a été raccourcie par ses péchés.

Ézéchiel 18:20: "Le fils ne mènera pas l'iniquité du père, et le père ne mènera pas l'iniquité du Fils. La justice juste sera sur lui et la méchanceté des méchants sera sur lui." Ce verset parle de la responsabilité personnelle de nos actions, quelque chose que Jeorão a ignoré en suivant les traces de son père Jehoshaphat, qui a également commis des péchés.

1 Jean 1:9: "Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute injustice." Ce verset parle du repentir et du pardon offert par Dieu à ceux qui confessent leurs péchés et se tournent vers lui. Malheureusement, Jeorão n'a montré aucun repentir et a ainsi subi les conséquences de ses actions.





“As almas não são oferecidas como dom; compram-se. Vós ignorais quanto custaram a Jesus. É sempre com a mesma moeda que é preciso pagá-las”. São Padre Pio de Pietrelcina