5. de peur que je ne la déshabille à nu, et que je ne la mette telle qu'au jour de sa naissance, que je ne la rende pareille au désert, faisant d'elle une terre desséchée, et que je ne la fasse mourir de soif.





“Quando a videira se separa da estaca que a sustenta, cai, e ao ficar na terra apodrece com todos os cachos que possui. Alerta, portanto, o demônio não dorme!” São Padre Pio de Pietrelcina