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Isaïe, 42

24. Qui a livré Jacob au pillage, Et Israël aux pillards? N`est-ce pas l`Éternel? Nous avons péché contre lui. Ils n`ont point voulu marcher dans ses voies, Et ils n`ont point écouté sa loi.

Kapcsolódó versek Isaïe, 42:

Le chapitre 42 d'Isaïe commence par la prophétie d'un serviteur choisi par Dieu, qui apporterait la justice aux nations et à la lumière aux peuples. Il serait gentil et compatissant, n'abandonnerait pas jusqu'à ce que la justice soit établie sur Terre. Ensuite, cinq versets liés aux sujets abordés dans Ésaïe 42:

Psaume 72:1-2: "O Dieu, donnez au roi vos jugements et votre justice au Fils du Roi. Il jugera votre peuple avec justice et vos pauvres avec des capitaux propres." Ce psaume parle de la justice et des capitaux propres que le roi doit avoir pour gouverner le peuple judicieusement.

Jean 12:46: "Je suis la lumière qui est venue au monde, que tous ceux qui croient en moi ne restent pas dans l'obscurité." Jésus s'identifie comme la lumière du monde, ce qui apporterait la vérité et l'espoir aux gens.

Matthew 12:18-21: "Voici mon serviteur, que j'ai choisi, ma bien-aimée, chez qui mon âme est ravie. Jusqu'à ce que vous gagniez justice. " Ce passage cite la prophétie d'Isaïe 42, qui est appliquée à Jésus comme le serviteur choisi par Dieu.

Éphésiens 4:1-3: "Je suis donc prisonnier du Seigneur, vous priez pour que vous soyez digne de la vocation avec laquelle vous avez été appelé, avec toute humilité et douceur, avec à long terme, se durciant dans l'amour, essayant de Gardez l'unité de l'Esprit par le lien de la paix. " Ce verset parle de la nécessité d'agir avec humilité et douceur, vertus qui sont également attribuées au serviteur d'Isaïe 42.

1 Pierre 2:23: "Ce qui, quand ils l'ont insulté, n'a pas insulté, et quand il avait une basse, il n'a pas menacé, mais il s'est rendu à celui qui juge précisément." Ce verset décrit l'attitude paisible et juste que le serviteur d'Isaïe 42 devrait avoir, et a également été illustré par Jésus dans sa vie terrestre.





“É doce o viver e o penar para trazer benefícios aos irmãos e para tantas almas que, vertiginosamente, desejam se justificar no mal, a despeito do Bem Supremo.” São Padre Pio de Pietrelcina