Katolička Biblija
 

Isaïe, 16

10. La joie et l'allégresse ont disparu des vergers ; dans les vignes, plus de chants, plus de cris de joie le vendangeur ne foule plus le vin dans les cuves j'ai fait cesser le cri joyeux du pressureur.

Stihovi vezani uz Isaïe, 16:

Le chapitre 16 d'Isaïe est une prophétie sur la destruction de Moab et la promesse qu'un jour Dieu restaurera la gloire du peuple de Moab. Les versets sélectionnés sont les suivants:

Jérémie 48:47: "Cependant, je vais restaurer la chance de Moab ces derniers jours, dit le Seigneur." Ce verset est une promesse de restauration pour Moab, qui est mentionné dans Ésaïe 16.

Amos 2:1: "Ainsi dit le Seigneur, pour trois transgressions de Moab, et pour quatre, je ne retirerai pas la punition, car elle a brûlé les os du roi d'Edom à Cal." Ce verset parle du péché de Moab et de sa punition, qui est pertinent pour le procès de Moab décrit dans Ésaïe 16.

Jérémie 48:36: "C'est pourquoi mon cœur gémit à cause de Moab en tant que flulutistes, et mon cœur gémit comme des flûtes à cause des hommes de Quir-Men; car toute sa richesse s'est estompée." Ce verset décrit la lamentation du prophète Jérémie par Moab, qui a perdu sa richesse et souffre, un thème qui est également mentionné dans Ésaïe 16.

Ézéchiel 25:8-9: "Ainsi dit le Seigneur Dieu, pour le pire et Seir dit, voici, la maison de Juda est comme toutes les nations, alors voici, je ouvrirai le côté de Moab des villes, puisque leurs villes sont les frontières, La gloire du pays de Bet-Jesimote, Baoal-Meom et Quiriataim. " Ces versets parlent de l'attitude de Moab envers Juda et de la punition qu'ils recevront à cause de cela. Cette punition est similaire à celle décrite dans Ésaïe 16.

Jérémie 48:28: "Laissez les villes et habitez dans les rochers, des habitants de Moab et soif comme la colombe qui niche au fond de la bouche de la grotte." Ce verset décrit le désespoir des habitants de Moab au milieu de la destruction de leurs villes, un thème qui est également mentionné dans Ésaïe 16.





“Deus não opera prodígios onde não há fé.” São Padre Pio de Pietrelcina