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C'est un conseil que je donne sur ce point; car cela vous convient, à vous qui n'avez pas seulement commencé à agir, mais qui en avez eu la volonté dès l'an passé. (2 Corinthiens 8, 10)
Car lorsque la volonté est prompte, elle est agréée selon ce qu'elle a, et non selon ce qu'elle n'a pas. (2 Corinthiens 8, 12)
Celui qui recueillait beaucoup n'avait pas plus; et celui qui recueillait peu n'avait pas moins. (2 Corinthiens 8, 15)
de peur que, si des Macédoniens viennent avec moi et ne vous trouvent pas prêts, nous n'ayons (pour ne pas dire vous-mêmes) à rougir à ce sujet. (2 Corinthiens 9, 4)
J'estime cependant que je n'ai rien fait de moins que ces grands apôtres. (2 Corinthiens 11, 5)
Et quand j'étais parmi vous, et que je me trouvais dans le besoin, je n'ai été à charge à personne; car les frères venus de Macédoine ont supplée à ce qui me manquait; et en toutes choses je me suis gardé avec soin de vous être à charge, et je m'en garderai encore. (2 Corinthiens 11, 9)
J'ai été insensé, vous m'y avez contraint. Car c'était à vous de me recommander, puisque je n'ai été en rien inférieur à ces incomparables apôtres, quoique je ne sois rien. (2 Corinthiens 12, 11)
J'ai prié Tite d'aller vous voir, et avec lui j'ai envoyé un frère. Est-ce que Tite vous a circonvenus? n'avons-nous pas marché dans le même esprit, sur les mêmes traces? (2 Corinthiens 12, 18)
C'est pourquoi j'écris ces choses étant absent, afin que, lorsque je serai présent, je n'aie pas à user de rigueur, selon le pouvoir que le Seigneur m'a donné pour édifier, et non pour détruire. (2 Corinthiens 13, 10)
Je n'allai pas non plus à Jérusalem vers ceux qui étaient Apôtres avant moi; mais je m'en allai en Arabie, et je revins encore à Damas. (Galates 1, 17)
Or, j'y montai d'après une révélation, et je leur exposai l'Evangile que je prêche parmi les gentils; je l'exposai en particulier à ceux qui paraissaient être les plus considérés, afin de ne pas courir ou de n'avoir pas couru en vain. (Galates 2, 2)
Voici ce que je veux dire: Dieu ayant conclu une alliance en bonne forme, la loi, qui a été donnée quatre cent trente ans après, n'a pu la rendre nulle, ni abroger la promesse. (Galates 3, 17)
