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  • Mais Nabuzardan, capitaine des gardes, laissa une partie des pauvres du pays, comme vignerons et comme laboureurs. (Jéremie 52, 15)

  • Le capitaine des gardes prit aussi les bassins, les bra-siers, les coupes, les chaudières, les chan-deliers, les cuillers et les urnes, ce qui était d'or et ce qui était d'argent. (Jéremie 52, 19)

  • Le capitaine des gardes prit Saraïas, le grand-prêtre, Sophonie, le second prêtre et les trois gardiens du seuil. (Jéremie 52, 24)

  • Nabuzardan, capitaine des gardes, les prit et les fit conduire au roi de Babylone à Ribla. (Jéremie 52, 26)

  • la vingt-troisième année de Nabuchodonosor, Nabuzardan, capitaine des gardes, déporta encore sept cent quarante-cinq hommes de Juda; en tout quatre mille six cents personnes. (Jéremie 52, 30)

  • Alors Daniel fît une réponse prudente et sensée à Arioch, chef des gardes du roi, qui était sorti pour mettre à mort les sages de Babylone. (Daniel 2, 14)

  • Tes gardes sont comme le yéléq et tes chefs comme un amas de sauterelles ; elles se posent sur les haies en un jour froid ; dès que le soleil parait, elles fuient, et l'on ne connaît plus leur séjour; où sont-elles (Nahum 3, 17)

  • Dans l'effroi qu'ils en eurent,les gardes tremblèrent et devinrent comme morts. (Matthieu 28, 4)

  • Pendant qu'elles étaienten chemin, voilà que quelques-uns des gardes virent dans la ville et annoncèrentaux grands prêtres tout ce qui était arrivé. (Matthieu 28, 11)

  • " Nous avons trouvé la geôle fermée de manière sûre et les gardes debout devant les portes; mais, après avoir ouvert, nous n'avons trouvé personne dedans. " (Actes des Apôtres 5, 23)

  • Vous donc, bien-aimés, qui êtes prévenus, tenez-vous sur vos gardes, de peur qu'entraînés par l'égarement de ces impies, vous ne veniez à déchoir de votre fermeté. (2 Pierre 3, 17)

  • Jude serviteur de Jésus-Christ et frère de Jacques aux élus qui ont été aimés en Dieu le Père, et gardés pour Jésus-Christ : (Jude 1, 1)


“Há alegrias tão sublimes e dores tão profundas que não se consegue exprimir com palavras. O silêncio é o último recurso da alma, quando ela está inefavelmente feliz ou extremamente oprimida!” São Padre Pio de Pietrelcina