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Lorsqu'elle fut arrivée près de son mari, celui-ci lui conseilla de demander à son père un champ. Elle sauta donc de son âne et Caleb lui demanda: "Que veux-tu?" (Josué 15, 18)
On ensevelit à Sichem les ossements de Joseph que les Israélites avaient rapportés d'Egypte. On les mit dans la parcelle de champ que Jacob avait achetée aux fils de Hamor, père de Sichem, pour cent pièces d'argent: elle était devenue l'héritage des fils de Joseph. (Josué 24, 32)
Dès qu'elle arriva, il la poussa à demander à son père un champ. Comme elle descendait de son âne, Caleb lui dit: "Que veux-tu?" (Juges 1, 14)
Mais Zabulon est un peuple qui risque sa vie, comme Nephtali, sur les champs de bataille. (Juges 5, 18)
Après la bataille, Gédéon, fils de Yoach s'en retourna par la montée de Harés. (Juges 8, 13)
C'étaient dix-mille hommes d'élite de l'armée d'Israël qui arrivaient sur Guibéa. La bataille fut rude et les Benjaminites ne savaient pas que le malheur allait les frapper. (Juges 20, 34)
Comme ils tentaient de s'enfuir devant les Israélites par les chemins du désert, la bataille les y rejoignit et ceux qui descendaient de la ville les massacrèrent. (Juges 20, 42)
Booz dit à Ruth: "Ecoute-moi ma fille: ne va pas glaner dans un autre champ, ne t'éloigne pas d'ici mais attache-toi à mes servantes. (Ruth 2, 8)
Regarde le champ qu'on moissonne et suis-les. Sache bien que j'ai défendu aux serviteurs de te frapper. Si tu as soif, va boire aux cruches l'eau qu'ils auront puisée." (Ruth 2, 9)
Ruth glana ainsi dans le champ jusqu'au soir et lorsqu'elle eut battu ce qu'elle avait ramassé, il y avait environ une mesure d'orge. (Ruth 2, 17)
"Où as-tu glané aujourd'hui? lui dit sa belle-mère, dans quel champ as-tu ramassé? Béni soit celui qui s'est intéressé à toi!" Ruth apprit à sa belle-mère chez qui elle avait travaillé. Elle lui dit: "L'homme chez qui j'ai travaillé aujourd'hui s'appelle Booz." (Ruth 2, 19)
Noémi dit à Ruth, sa belle-fille: "C'est une bonne chose ma fille que tu restes avec ses servantes, car dans un autre champ on risquerait de te maltraiter." (Ruth 2, 22)
