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  • Ils entraient, le mâle avec sa femelle, il en arrivait de chaque espèce selon l'ordre de Dieu. Et puis Yahvé ferma la porte derrière Noé. (Genèse 7, 16)

  • Les eaux grossirent, grossirent encore sur la terre et l'arche allait sur la surface des eaux. (Genèse 7, 18)

  • Tous les êtres vivants de la terre périrent: oiseaux, animaux des champs, bêtes sauvages, tout ce qui vivait et bougeait sur la terre, ainsi que tous les hommes. (Genèse 7, 21)

  • Tout ce qui avait un souffle de vie dans les narines, tout ce qui existait sur la terre ferme mourut. (Genèse 7, 22)

  • Au bout de quarante jours, Noé ouvrit la fenêtre qu'il avait faite dans l'arche (Genèse 8, 6)

  • La colombe revint vers lui à l'heure du soir, et voici qu'elle tenait dans son bec une petite branche d'olivier toute fraîche. Alors Noé comprit que les eaux avaient baissé sur la terre. (Genèse 8, 11)

  • En l'an six cent un de la vie de Noé, le premier jour du premier mois, les eaux avaient séché sur la terre. Noé souleva le toit de l'arche et regarda: il vit que la surface du sol était sèche. (Genèse 8, 13)

  • Le vingt-septième jour du deuxième mois la terre était complètement sèche. (Genèse 8, 14)

  • Yahvé sentit la bonne odeur et il dit en son coeur: "Je ne maudirai plus jamais la terre à cause de l'homme, car les pensées du coeur de l'homme sont mauvaises dès sa jeunesse, je ne recommencerai plus à frapper les êtres vivants comme je l'ai fait. (Genèse 8, 21)

  • Lorsque je couvrirai la terre de nuages, l'arc apparaîtra dans le ciel. (Genèse 9, 14)

  • Kam, père de Canaan, regarda son père qui était nu et il le raconta à ses deux frères qui étaient dehors. (Genèse 9, 22)

  • Mais Sem et Japhet prirent un manteau à deux, ils le mirent sur leurs épaules, puis ils marchèrent à reculons et couvrirent leur père qui était nu. Leurs visages étaient tournés en arrière pour ne pas regarder la nudité de leur père. (Genèse 9, 23)


“É doce o viver e o penar para trazer benefícios aos irmãos e para tantas almas que, vertiginosamente, desejam se justificar no mal, a despeito do Bem Supremo.” São Padre Pio de Pietrelcina