2 Corinthiens, 2
2. Car si moi-même je vous attriste, de qui puis-je attendre de la joie? N'est-ce pas de celui même que j'aurais affligé?
2. Car si moi-même je vous attriste, de qui puis-je attendre de la joie? N'est-ce pas de celui même que j'aurais affligé?
2 Corinthiens 2 traite du pardon et de la réconciliation entre les membres de l'Église. L'apôtre Paul encourage les Corinthiens à pardonner et à restaurer un frère qui avait déjà été discipliné. Il parle également de l'importance de maintenir l'unité dans l'Église et de reconnaître l'autorité apostolique. Voici cinq versets liés aux sujets abordés dans 2 Corinthiens 2:
Romains 12:18: "Si possible, combien cela dépend de vous, tend la paix avec tous les hommes." Paul souligne l'importance de la paix et de l'unité parmi les frères, ce qui est approché dans 2 Corinthiens 2.
Colossians 3:13: "Soutenez un autre, pardonnez-vous à vous voir si quelqu'un a une raison de se plaindre contre les autres. Tout comme le Seigneur vous a pardonné, alors pardonnez-vous." Le pardon est un thème central dans 2 Corinthiens 2 et ce verset encourage à pardonner comme nous avons été pardonnés.
Matthieu 6:14-15: "Car si vous pardonnez vos infractions aux hommes, votre Père céleste vous vous pardonnera; mais si vous ne pardonnez pas les hommes [vos infractions], et vous ne vous pardonnerez pas vos infractions." Ce verset renforce l'importance du pardon et sa relation avec la miséricorde de Dieu, un thème important dans 2 Corinthiens 2.
Éphésiens 4:32: "Avant, soif de l'un à l'autre bénin, compatissant, se pardonnant, comme Dieu vous a pardonné en Christ." Encore une fois, Paul souligne l'importance du pardon et de la miséricorde dans nos relations, ce qu'il aborde dans 2 Corinthiens 2.
Jean 20:23: "Pour ceux à qui vous pardonnez les péchés, ils leur sont pardonné; ceux à qui vous vous retirez sont retirés à eux." Ce verset montre l'autorité donnée aux disciples de Jésus pour pardonner les péchés et leur relation avec la réconciliation, un thème important dans 2 Corinthiens 2.
“O demônio é forte com quem o teme, mas é fraco com quem o despreza.” São Padre Pio de Pietrelcina
