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2 Corinthiens, 13

7. Si nous demandons à Dieu que vous ne fassiez rien de mal, ce n'est pas pour que nous-mêmes soyons bien jugés. Nous préférons que vous fassiez le bien, même si cela nous met en tort.

Wersety związane z 2 Corinthiens, 13:

2 Corinthiens 13 est le dernier chapitre de la deuxième lettre de Paul aux Corinthiens. Dans ce chapitre, Paul réprimande ceux qui le remettent en question, leur rappelant qu'il est un apôtre de Jésus-Christ et leur demandant de s'examiner pour voir s'ils sont vraiment dans la foi. Il les encourage également à viser la perfection et à vivre en paix. Voici cinq versets liés aux sujets abordés dans 2 Corinthiens 13:

Romains 12:18: "Si c'est possible, combien cela dépend de vous, tend la paix avec tous les hommes." Paul encourage les Corinthiens à vivre en paix avec les autres, ce qui est un thème important tout au long du chapitre 13.

2 Corinthiens 10:8: "Car même si je me glore un peu plus de notre pouvoir, que le Seigneur nous a donné pour l'édification et non pour votre destruction, je ne m'embarrasserai pas." Paul parle du pouvoir que Dieu lui a donné à construire et à ne pas détruire, et cela est similaire à la façon dont il demande aux Corinthiens de s'examiner pour voir s'ils sont vraiment dans la foi.

1 Corinthiens 11:28: "Examinez l'homme à lui-même et mangez ainsi ce pain et buvez de ce calice." Ce verset est lié au thème de l'examen, qui est souligné dans 2 Corinthiens 13.

Philippiens 2:12: "Ainsi, bien-aimé de la mienne, mais j'ai toujours obéi, non seulement en ma présence, mais beaucoup plus en mon absence, j'ai développé votre salut avec peur et tremblement." Paul encourage les Corinthiens à viser la perfection, qui est un thème important dans 2 Corinthiens 13.

Colossiens 3:15: "Et la paix du Christ, à laquelle vous avez également appelé un corps, domine dans vos cœurs et une soif épaisse." Ce verset est lié au thème de vivre en paix avec les autres, qui est souligné dans 2 Corinthiens 13.





“Devo fazer somente a vontade de Deus e, se lhe agrado, o restante não conta.” São Padre Pio de Pietrelcina