Biblia Católica
 

Jean, 18

28. Ils conduisirent Jésus de chez Caïphe au prétoire: c`était le matin. Ils n`entrèrent point eux-mêmes dans le prétoire, afin de ne pas se souiller, et de pouvoir manger la Pâque.

Versos relacionados con Jean, 18:

Saint-Jean 18 raconte l'arrestation et le jugement de Jésus avant sa crucifixion. Le chapitre commence par la trahison de Judas Iscariot et se termine avec Pierre niant Jésus trois fois. Certains des sujets abordés comprennent la souffrance et l'humiliation de Jésus, la loyauté et la trahison de ses disciples et le jugement injuste que Jésus a dû faire face.

Psaume 22:16 - "Pour les chiens qui m'entourent; un groupe de malfaiteurs m'entoure; ils ont percé les mains et les pieds." Ce psaume prophétique décrit les détails de la crucifixion de Jésus, y compris le fait que ses mains et ses pieds ont été percés.

Ésaïe 53:3 - "Il était méprisé et le plus rejeté parmi les hommes; homme de douleur et qui sait ce que c'est que de souffrir; et, comme l'un des hommes cache le visage, a été méprisé, et nous n'avons pas fait valoir. " Ce verset décrit l'humiliation et la souffrance auxquelles Jésus a été confronté avant sa mort.

Matthieu 26:56 - "Mais tout cela est arrivé pour accomplir les Écritures des prophètes. Alors tous les disciples, le laissant, s'enfuisent." Ce verset montre comment les disciples ont abandonné Jésus lorsqu'il a été arrêté, accomplissant la prophétie que le pasteur serait blessé et le troupeau dispersé.

Marc 14:61 - "Mais il a gardé le silence et rien ne répondait. Ils lui ont demandé à nouveau:" Êtes-vous le Christ, le Fils du Dieu béni? " Ce verset montre le jugement injuste que Jésus a confronté aux autorités religieuses qui cherchent une raison de le condamner.

Luc 22:34 - "Je te le dis, Pedro, qui ne chantera pas le coq aujourd'hui avant trois fois, tu as nié que tu me connais." Ce verset montre la tristesse de Jésus en prédisant que Pierre le refuserait trois fois, ce qui se produit plus tard dans le chapitre 18.





“O Anjo de Deus não nos abandona jamais.” São Padre Pio de Pietrelcina