19. Ainsi les jours et les temps se succédant les uns les autres, deux années se passèrent, de sorte qu'étant consumé et pourri par la longueur du mal, il rejetait même ses entrailles. Il ne trouva la fin de son mal que dans celle de sa vie. Il mourut donc d'une très horrible maladie; et le peuple ne brûla point de parfums en son honneur selon la coutume, comme il avait fait pour ses aïeux.





“Tenhamos sempre horror ao pecado mortal e nunca deixemos de caminhar na estrada da santa eternidade.” São Padre Pio de Pietrelcina