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  • Et tout le corps de ses combattants, dont on a fait le dénombrement, est de trente-cinq mille quatre cents. (Nombres 2, 23)

  • Tout le corps de ses combattants, dont on a fait le dénombrement, est de quarante et un mille cinq cents. (Nombres 2, 28)

  • Toute l'armée des enfants d'Israël étant divisée en diverses troupes, selon leurs maisons et leurs familles, était donc au nombre de six cent trois mille cinq cent cinquante. (Nombres 2, 32)

  • dont tous les mâles ayant été comptés depuis un mois et au-dessus, il s'en trouva sept mille cinq cents. (Nombres 3, 22)

  • vous prendrez cinq sicles par tête au poids du sanctuaire. Le sicle est de vingt oboles. (Nombres 3, 47)

  • ce qu'il reçut pour les premiers-nés des enfants d'Israël forma la somme de mille trois cent soixante-cinq sicles au poids du sanctuaire; (Nombres 3, 50)

  • se trouvèrent en tout au nombre de huit mille cinq cent quatre-vingt. (Nombres 4, 48)

  • et, pour le sacrifice des pacifiques, deux boeufs, cinq béliers, cinq boucs, et cinq agneaux d'un an. Ce fut là l'offrande de Nahasson, fils d'Aminadab. (Nombres 7, 17)

  • et, pour le sacrifice des pacifiques, deux boeufs, cinq béliers, cinq boucs, et cinq agneaux d'un an. Ce fut là l'offrande de Nathanaël, fils de Suar. (Nombres 7, 23)

  • et, pour le sacrifice des pacifiques, deux boeufs, cinq béliers, cinq boucs, et cinq agneaux d'un an. Ce fut là l'offrande d'Eliab, fils d'Hélon. (Nombres 7, 29)

  • et, pour le sacrifice des pacifiques, deux boeufs, cinq béliers, cinq boucs, et cinq agneaux d'un an. Ce fut là l'offrande d'Elisur, fils de Sédéür. (Nombres 7, 35)

  • et, pour les hosties des pacifiques, deux boeufs, cinq béliers, cinq boucs, et cinq agneaux d'un an. Ce fut là l'offrande de Salamiel,fils de Surisaddaï. (Nombres 7, 41)


“Não queremos aceitar o fato de que o sofrimento é necessário para nossa alma e de que a cruz deve ser o nosso pão cotidiano. Assim como o corpo precisa ser nutrido, também a alma precisa da cruz, dia a dia, para purificá-la e desapegá-la das coisas terrenas. Não queremos entender que Deus não quer e não pode salvar-nos nem santificar-nos sem a cruz. Quanto mais Ele chama uma alma a Si, mais a santifica por meio da cruz.” São Padre Pio de Pietrelcina