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Il recula les fron-tières de sa nation et fut maître du pays. (1 Maccabées 14, 6)
en la grande assemblée des prê-tres et du peuple, des princes de la nation et des anciens du pays, il a été publié ceci: (1 Maccabées 14, 28)
Dans les nombreux combats dont notre pays a été le théâtre, Simon fils de Mathathias, d'entre les descendants de Jarib, et ses frères, se sont exposés au danger et ont résisté aux ennemis de leur nation, afin que leur sanctuaire restât de-bout, ainsi que la loi, et ils ont acquis à leur nation une grande gloire. (1 Maccabées 14, 29)
Jonathas rassembla sa nation et devint leur grand prêtre ; puis il fut réuni à son peuple. (1 Maccabées 14, 30)
Alors Simon se leva et com-battit pour sa nation; il dépensa beau-coup de ses biens propres, fournit des ar-mes aux hommes vaillants de sa nation et leur donna une solde, (1 Maccabées 14, 32)
Le peuple vit la conduite de Simon et la gloire qu'il se proposait de donner à sa nation, et ils le constituèrent leur chef et leur grand prêtre, à cause de tous ces services qu'il leur avait rendus, et de la justice et de la fidélité qu'il garda envers sa na-tion, et parce qu'il travailla de toute manière à élever son peuple. (1 Maccabées 14, 35)
Le roi Antiochus, fils de Démétrius, envoya des îles de la mer une lettre à Simon, grand prêtre et ethnarque des Juifs, et à toute la nation; (1 Maccabées 15, 1)
elle était ainsi conçue : "Le roi Antiochus, à Simon, grand prê-tre et ethnarque, et à la nation des Juifs, salut ! (1 Maccabées 15, 2)
Lors-que nous serons rentrés en possession de notre royaume, nous t'honorerons magnifiquement, toi, ta nation et le sanctuaire, de telle sorte que votre gloire brillera dans tout l'univers." (1 Maccabées 15, 9)
Maintenant je suis devenu vieux, et vous, par la grâce divine, vous avez assez d'années; prenez ma place et celle de mon frère; allez com-battre pour notre nation, et que le se-cours du ciel soit avec vous!" (1 Maccabées 16, 3)
Jason se livra sans pitié au massacre de ses propresconcitoyens, ne réfléchissant pas qu'unejournée gagnée sur des compatriotes est lajournée la plus tristement perdue, mais s'imaginantremporter des trophées sur des ennemis, et non sur desgens de la même nation. (2 Maccabées 5, 6)
Et ils prescrivirent par un édit public et undécret que toute la nation juive solenniserait chaqueannée ces mêmes jours. (2 Maccabées 10, 8)
