Gefunden 910 Ergebnisse für: eut

  • Abram eut foi à Yahweh, et Yahweh le lui imputa à jus­tice. (Genèse 15, 6)

  • Saraï dit à Abram : "Voici que Yahweh m'a rendue stérile ; viens, je te prie, vers ma servante ; peut-être aurai-je d'elle des fils. " (Genèse 16, 2)

  • Abram écouta la voix de Saraï. Saraï, femme d'Abram, prit donc Agar l'Egyptienne, sa servante, après qu'Abram eut habité dix années dans le pays de Chanaan, et elle la don­na à Abram, son mari, pour être sa femme. (Genèse 16, 3)

  • Sara nia, en disant " je n'ai pas ri "; car elle eut peur. Mais il lui dit : " Non, tu as ri. " (Genèse 18, 15)

  • Peut-être y a-t-il cinquante justes dans la ville : les feriez-vous périr aussi, et ne pardonne­rez-vous pas à cette ville à cause des cinquante justes qui s'y trouveraient? (Genèse 18, 24)

  • Peut-être que des cinquante justes i! en manquera cinq ; pour cinq hommes détruirez-vous toute la ville? " Il dit : " le ne la détruirai pas, si j'en trouve quarante-cinq. " (Genèse 18, 28)

  • Abraham continua encore à lui parler et dit : " Peut-être s'y trouvera-t-il quarante justes." Et il dit : " je ne le ferai pas, à cause de ces quarante. " (Genèse 18, 29)

  • Abraham dit : " Que !e Seigneur veuille ne pas s'irriter, si je parle ! Peut-être s'en trouvera-t-il trente. " Et il dit : " je ne le ferai pas, si j'en trouve trente. " (Genèse 18, 30)

  • Abraham dit : " Voilà que j'ai osé parler au Seigneur. Peut-être s'en trouvera-t-il vingt. " Et il dit : " A cause de ces vingt, je ne la détruirai pas. " (Genèse 18, 31)

  • Abraham dit : "Que le Seigneur veuille ne pas s'irriter, et je ne parlerai plus que cette fois : Peut-être s'en trouvera-t-il dix. " Et il dit : " A cause de ces dix, je ne la détruirai point. " (Genèse 18, 32)

  • Yahweh s'en alla, lorsqu'il eut achevé de parler à Abraham, et Abraham re­tourna chez lui. (Genèse 18, 33)

  • La cadette eut aussi un fils, qu'elle nomma Ben-Ammi : c'est le père des fils d'Ammon, qui existent jus­qu'à ce jour. (Genèse 19, 38)


“Não se desencoraje, pois, se na alma existe o contínuo esforço de melhorar, no final o Senhor a premia fazendo nela florir, de repente, todas as virtudes como num jardim florido.” São Padre Pio de Pietrelcina