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Les grands prêtres et les notables des Juifs vinrent donc lui présenter leurs accusations contre Paul. Ils insistèrent (Actes des Apôtres 25, 2)
Dès qu'il fut arrivé, les Juifs qui étaient descendus de Jérusalem l'assaillirent avec quantité d'accusations graves qu'ils étaient incapables de prouver. (Actes des Apôtres 25, 7)
Mais Festus voulait faire un cadeau aux Juifs. Il intervint pour demander à Paul: "Veux-tu monter à Jérusalem si c'est moi qui suis là-bas ton juge?" (Actes des Apôtres 25, 9)
Paul répondit: "Je suis sous la juridiction de César, et c'est lui qui doit me juger. Je n'ai pas fait de tort aux Juifs, tu le sais parfaitement. (Actes des Apôtres 25, 10)
Quand je me suis trouvé à Jérusalem, les grands prêtres et les Anciens des Juifs sont venus me trouver pour me réclamer sa condamnation. (Actes des Apôtres 25, 15)
"Roi Agrippa, je crois que j'ai bien de la chance de pouvoir m'expliquer aujourd'hui devant toi sur toutes ces accusations des Juifs. (Actes des Apôtres 26, 2)
Car tu es très au fait de toutes les pratiques, comme des discussions propres aux Juifs. Je te prie donc de bien vouloir m'écouter. (Actes des Apôtres 26, 3)
Tous les Juifs savent ce qu'a été ma vie dès ma jeunesse, aussi bien dans la communauté juive qu'à Jérusalem. (Actes des Apôtres 26, 4)
d'ailleurs, le culte perpétuel que nos douze tribus rendent à Dieu de jour et de nuit, ne vise à rien d'autre qu'à obtenir cette promesse. C'est pour cette espérance que je suis accusé par les Juifs, roi Agrippa. (Actes des Apôtres 26, 7)
Voilà pourquoi les Juifs m'ont arrêté dans le Temple et ont essayé de me tuer. (Actes des Apôtres 26, 21)
On avait pris bien du retard et la navigation devenait dangereuse: la fête du jeûne était déjà passée. Paul a insisté alors auprès d'eux, (Actes des Apôtres 27, 9)
Trois jours plus tard Paul convoquait les plus importants des Juifs. Quand ils furent chez lui, il commença à leur dire: "Frères, on m'a amené de Jérusalem comme prisonnier; j'ai été livré aux Romains alors que je n'avais offensé en rien les autorités de notre peuple ou les coutumes de nos pères. (Actes des Apôtres 28, 17)
