Encontrados 139 resultados para: Mari

  • Un autre homme a eu des rapports sexuels avec elle en cachette du mari, et elle-même s'est cachée pour accomplir cet acte impur de sorte qu'il n'y a pas de témoin contre elle: personne ne l'a vue. (Nombres 5, 13)

  • le prêtre passera à la formule solennelle de malédiction. Il dira à la femme: Si aucun homme n'a couché avec toi, si tu ne t'es pas mal conduite avec un autre que ton mari, que ces eaux d'amertume qui portent la malédiction montrent ton innocence. (Nombres 5, 19)

  • Mais si tu t'es dévoyée avec un autre que ton mari, si tu es devenue impure en ayant des rapports sexuels avec un autre que ton mari... (Nombres 5, 20)

  • Si elle s'est rendue impure en trompant son mari, ces eaux qu'elle a bues deviendront en elle source d'amertume et de malédiction; son ventre enflera et ses flancs dépériront: cette femme deviendra une maudite au milieu de son peuple. (Nombres 5, 27)

  • Telle est la loi du soupçon pour la femme qui se conduit mal avec un autre que son mari et qui se rend impure, (Nombres 5, 29)

  • Si son mari apprenant la chose ne dit rien, son voeu et l'obligation qu'elle s'est imposée gardent toute leur valeur. (Nombres 30, 8)

  • Mais si le mari désapprouve sa femme le jour où il est mis au courant, il casse par là même le voeu qui la liait et la parole imprudente par laquelle elle s'était engagée. Dans ce cas Yahvé lui pardonnera. (Nombres 30, 9)

  • Autre cas: une femme fait un voeu ou s'impose par serment une obligation alors qu'elle vit dans la maison de son mari. (Nombres 30, 11)

  • Si son mari ne dit rien le jour où il l'apprend, c'est qu'il ne la désapprouve pas. Dans ce cas son voeu et l'obligation qu'elle s'est imposée ont toute leur valeur. (Nombres 30, 12)

  • Mais si, le jour où le mari est mis au courant, il dit son désaccord, elle est quitte de sa parole et de son serment, de son voeu et de son obligation. Yahvé pardonnera à cette femme puisque c'est son mari qui les a désapprouvés. (Nombres 30, 13)

  • Tout voeu et toute obligation qu'elle s'est imposée pour se mortifier, c'est son mari qui l'approuve et c'est lui qui l'annule. (Nombres 30, 14)

  • Si au fil des jours son mari continue de se taire, il approuve par là-même tous ses voeux et toutes les obligations qui lui incombent. Il les a confirmés par son silence, le jour où il les a appris. (Nombres 30, 15)


Uma filha espiritual perguntou a Padre Pio: “O Senhor cura tantas pessoas, por que não cura esta sua filha espiritual?” Padre Pio respondeu-lhe em voz baixa: “E não nos oferecemos a Deus?” São Padre Pio de Pietrelcina