Bíblia Católica
 

1 Samuel, 17

40. David prit en main son bâton, choisit dans le torrent cinq cailloux polis et les mit dans son sac de berger, dans sa gibecière. Puis, sa fronde à la main, il s'avança vers le Philistin.

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1 Samuel 17 raconte l'histoire de David et Goliath, où David, un jeune berger des moutons, fait face au Filiisteu Goliath géant et le bat avec une seule pierre. Ce chapitre aborde des sujets tels que la foi, le courage, la confiance en Dieu et la capacité de surmonter les défis.

Psaume 56:3: "Le jour où je crains, je vous ferai confiance." Ce verset souligne l'importance de la confiance en Dieu, même en période de peur et d'incertitude, qui est une attitude que David démontre lors de sa bataille contre Goliath.

Proverbes 21:31: "Le cheval est préparé pour le jour de la bataille, mais la victoire vient du Seigneur." Ce verset montre que bien que nous puissions nous préparer à faire face aux défis, la victoire vient de Dieu et David fait confiance à Dieu pour l'aider à battre Goliath.

Ésaïe 41:10: "Ne crains pas, parce que je suis avec toi; ne te hante pas, parce que je suis ton Dieu; je te renforce et je t'aide, et je te soutiens avec ma fidèle droite." Ce verset parle de la protection et de l'aide à Dieu offre à ses enfants, ce que David éprouve quand il fait face à Goliath avec confiance.

Philippiens 4:13: "Je peux tout faire en lui qui me renforce." Ce verset montre que nous pouvons surmonter n'importe quel défi avec l'aide de Dieu, et cette force en vient. David le démontre quand il fait face à Goliath sans crainte, faisant confiance à Dieu pour l'aider à gagner.

2 Timothée 1:7: "Car Dieu ne nous a pas donné l'esprit de peur, mais de la forteresse, de l'amour et de la modération." Ce verset met en évidence l'importance du courage et de la force dans les moments difficiles que David démontre en faisant face à Goliath, en faisant confiance à l'aide et à la protection de Dieu.





“As almas não são oferecidas como dom; compram-se. Vós ignorais quanto custaram a Jesus. É sempre com a mesma moeda que é preciso pagá-las”. São Padre Pio de Pietrelcina