Sagesse, 16
12. Ce ne fut ni une herbe, ni un médicament qui les guérit, mais votre parole, Seigneur, qui guérit tout.
12. Ce ne fut ni une herbe, ni un médicament qui les guérit, mais votre parole, Seigneur, qui guérit tout.
Le chapitre 16 de la sagesse parle de l'action de Dieu dans l'histoire de son peuple, montrant comment il agit avec justice et miséricorde. Il souligne également comment les pécheurs sont punis pour leurs actions et comment ceux qui font confiance à Dieu sont récompensés. Vous trouverez ci-dessous cinq versets liés aux sujets abordés dans la sagesse 16:
Deutéronome 7:9: "Sachez donc que le Seigneur, son Dieu, est Dieu; il est le Dieu fidèle, qui détient l'alliance et la bonté pour mille générations de ceux qui l'aiment et lui obéissent dans leurs commandements." Ce verset met en évidence la fidélité de Dieu à son peuple et l'importance de l'obéissance à ses commandements.
Psaume 145:17: "Le Seigneur est juste dans toutes ses manières et en quelque sorte dans toutes ses œuvres." Ce psaume exalte la justice et la bonté de Dieu, caractéristiques qui sont mises en évidence dans le chapitre 16 de la sagesse.
Ecclésiastique 16:12-13: "Il a créé l'homme depuis le début, et l'a laissé entre les mains de ses conseils; si vous le souhaitez, vous garderez les commandements, et pour faire sa volonté, il vous gardera fidèle." Ce verset montre comment Dieu a créé l'homme avec la capacité de choisir ses manières, mais offre également la possibilité de rester fidèle à lui.
Jérémie 17:10: "Moi, le Seigneur, monnade mon cœur et provoque des pensées, pour donner à chacun selon ses voies, selon le fruit de ses œuvres." Ce verset met l'accent sur la justice de Dieu dans la récompense ou la punition de chaque personne, selon ses actes.
Matthieu 25:46: "Et ils iront à la punition éternelle, mais les justes, à la vie éternelle." Ce verset parle de la séparation entre les justes et les méchants dans la vie après la mort, montrant l'importance de suivre les voies de Dieu.
“Quanto maiores forem os dons, maior deve ser sua humildade, lembrando de que tudo lhe foi dado como empréstimo.” São Padre Pio de Pietrelcina
