Job, 40
17. Il dresse sa queue comme un cèdre; les nerfs de ses cuisses forment un solide faisceau.
17. Il dresse sa queue comme un cèdre; les nerfs de ses cuisses forment un solide faisceau.
Dans le chapitre Job, Dieu continue de parler à Job, remettant en question sa sagesse et sa puissance par rapport à Dieu lui-même. Il pose une série de questions rhétoriques pour montrer à Job sa propre insignifiance envers le Créateur. Vous trouverez ci-dessous cinq versets liés aux sujets abordés dans ce chapitre:
Psaumes 50:10-11: "Pour chaque animal forestier est à moi, et les animaux aux milliers de montagnes. Je sais que tous les oiseaux des collines; et tout ce qui se déplace sur le terrain est à moi." Ce verset montre la puissance de Dieu sur toute la reproduction, y compris les animaux, les montagnes et les champs, soulignant la supériorité divine sur l'élevage.
Isaiah 55:8-9: "Car mes pensées ne sont pas vos pensées, ni vos voies ne sont mes voies, dit le Seigneur. Car, tout comme les cieux sont plus élevés que la terre, mes voies sont aussi plus élevées que vos manières, et mes pensées plus haut que vos pensées. " Ce verset met en évidence la différence entre la sagesse et la puissance de Dieu et la limitation humaine pour les comprendre.
Job 38:4-5: "Où étiez-vous quand j'ai fondé la Terre? Je sais si vous avez l'intelligence. Qui lui a mis les mesures, si vous le savez? Ou qui a prolongé la chaîne dessus?"
Psaume 139:1-2: "Seigneur, tu m'as sondé et tu me connais. Tu sais quand je m'assois et quand je me lève; je pénétre mes pensées." Ce verset met l'accent sur la connaissance de Dieu sur la vie et les pensées humaines.
Isaiah 45:9: "Malheur à celui qui contient avec son Créateur! L'éclat parmi les autres éclats d'argile! Ce verset met en évidence le manque de sagesse dans la lutte contre la volonté de Dieu et l'opposition à son travail.
“Deus ama quem segue o caminho da virtude.” São Padre Pio de Pietrelcina
