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Nombres, 22

6. Viens donc, je t'en prie, et maudis-moi ce peuple car il est plus puissant que moi. Peut-être alors pourrai-je le battre et le chasser du pays car, je le sais, celui que tu bénis est béni, et celui que tu maudis est maudit!"

Wersety związane z Nombres, 22:

Les numéros 22 racontent l'histoire de Balaam, un petit homme qui a été embauché par le roi Balaque pour maudire les fils d'Israël. Cependant, Dieu empêche Balaam de maudire le peuple et le fait plutôt bénir les Israélites. Vous trouverez ci-dessous cinq versets liés aux sujets abordés dans les numéros 22:

Deutéronome 23:5: "Cependant, le Seigneur, votre Dieu, ne voulait pas entendre Balaam, et a transformé la malédiction en bénédiction pour vous, car le Seigneur, votre Dieu, les aime." Ce verset fait référence à l'histoire de Balaam et à la façon dont Dieu a transformé sa malédiction en une bénédiction pour les enfants d'Israël.

2 Pierre 2:15: "Ils ont suivi le chemin de Balaam, fils de Beor, qui a adoré le gain malhonnête" Ce verset met en évidence la cupidité de Balaam en acceptant l'argent de Balaque pour maudire les Israélites et met en garde contre l'exemple de Balaam.

Judas 1:11: "O est leur! Car ils ont suivi la voie à Caïn, cherchant le profit à Balaam, et se sont rebellés comme Corá se sont rebellés dans le désert." Ce verset met également en garde contre l'exemple de Balaam et met en évidence sa recherche de profit malhonnête.

Nombres 24:9: "Que Dieu bénisse et meure qui il maudit!" C'est l'un des versets de la bénédiction de Balaam, dans lequel il bénit les enfants d'Israël au lieu de les maudire, comme initialement prévu.

Nombres 22:35: "L'ange du Seigneur a dit à Balaam, allez avec ces hommes, mais ne parle que ce que je vous dis." Ce verset souligne comment Dieu contrôlait la situation de Balaam, le faisant bénir les enfants d'Israël au lieu de les maudire, montrant la volonté souverain de Dieu.





“É doce o viver e o penar para trazer benefícios aos irmãos e para tantas almas que, vertiginosamente, desejam se justificar no mal, a despeito do Bem Supremo.” São Padre Pio de Pietrelcina