Znaleziono 220 Wyniki dla: cru
Ils le crurent, mais lui fit arrêter et mettre à mort soixante d'entre eux en un seul jour selon la parole de l'Ecriture: (1 Maccabées 7, 16)
Les armées royales recruteront parmi les Juifs jusqu'à trente mille soldats qui recevront la même solde que les autres troupes du roi. (1 Maccabées 10, 36)
Lorsque Jonathan et le peuple entendirent ces paroles, ils ne les crurent pas et refusèrent de leur accorder confiance: ils se rappelaient trop bien le mal que Démétrius avait fait à Israël et comment il les avait opprimés. (1 Maccabées 10, 46)
Lorsque Jonathan entendit les paroles d'Apollonius, il fut très secoué. Il recruta dix mille hommes et partit de Jérusalem; son frère Simon vint le rejoindre et lui prêter main-forte. (1 Maccabées 10, 74)
Le roi Démétrius vit que le pays était en paix et qu'il n'avait plus à redouter aucune opposition; il renvoya toutes ses troupes et chacun rentra chez soi à l'exception des troupes étrangères qu'il avait recrutées dans des îles lointaines. Il s'attira ainsi la haine de toutes les troupes dont il avait hérité. (1 Maccabées 11, 38)
En l'an cent soixante-douze, le roi Démétrius rassembla ses forces et partit en Médie pour y recruter des troupes auxiliaires, car il voulait combattre Tryphon. (1 Maccabées 14, 1)
Au temps où les habitants de la Ville Sainte connaissaient une véritable paix, en un temps où les lois étaient scrupuleusement observées grâce à la piété du grand prêtre Onias qui détestait le mal, (2 Maccabées 3, 1)
Après avoir reçu les lettres royales confirmant sa charge, il repartit; il n'avait rien pour mériter ce titre de grand prêtre et il n'apportait avec lui que la violence d'un tyran cruel et la rage d'une bête sauvage. (2 Maccabées 4, 25)
Quant à Ménélas, il conserva sa charge grâce aux gens en place qui n'avaient de considération que pour l'argent; il grandissait en méchanceté et en cruauté, il était le fléau de ses compatriotes. (2 Maccabées 4, 50)
Il laissa des fonctionnaires pour réprimer notre race: à Jérusalem, Philippe originaire de Phrygie, qui était plus cruel encore que celui qui l'avait établi; (2 Maccabées 5, 22)
Lorsqu'il fut près de mourir sous les coups, il dit dans un soupir: "Le Seigneur possède la science sainte, il voit quelles douleurs cruelles j'endure sous les coups dans mon corps, alors que je pouvais échapper à la mort; mais il voit qu'en mon âme je les souffre avec joie à cause de la crainte que j'ai de lui." (2 Maccabées 6, 30)
Elle se pencha donc vers lui et, trompant le cruel tyran, elle parla ainsi à son fils dans la langue de ses pères: "Mon fils, aie pitié de moi! Je t'ai porté neuf mois dans mon sein, je t'ai allaité durant trois ans, je t'ai nourri et élevé jusqu'à l'âge où tu es: en toutes choses j'ai pris soin de toi. (2 Maccabées 7, 27)