Katolicka Biblia
 

Habaquq, 3

6. Il s`arrête, et de l`oeil il mesure la terre; Il regarde, et il fait trembler les nations; Les montagnes éternelles se brisent, Les collines antiques s`abaissent; Les sentiers d`autrefois s`ouvrent devant lui.

Wersety związane z Habaquq, 3:

Le chapitre 3 de Habakkuk est une prière du prophète, dans lequel il exprime sa confiance en Dieu, même face aux difficultés et aux adversités auxquelles le peuple de Juda était confronté. Il reconnaît la grandeur et la puissance de Dieu et lui demande d'intervenir pour sauver son peuple. Vous trouverez ci-dessous cinq versets d'autres livres bibliques qui se rapportent aux sujets abordés dans Habakkuk 3:

Psaume 18:2: "Le Seigneur est mon rocher, ma forteresse et mon libérateur; mon dieu est mon rocher, en qui je me réfugé. Il est mon bouclier et le pouvoir qui me sauve, ma tour." Ce verset parle de confiance en Dieu en tant que protecteur et sauveur, tout comme Habakkuk s'est exprimé dans sa prière.

Psaume 46:1: "Dieu est notre refuge et notre forteresse, aide toujours présente dans l'adversité." Ce verset renforce l'idée que Dieu est un abri sûr et constant pour ceux qui lui font confiance, même lorsqu'ils sont confrontés à des difficultés.

Ésaïe 40:28: "Ne savez-vous pas, jamais entendu? Le Seigneur est le Dieu éternel, le créateur de toute la terre. Il n'est ni fatigué ni épuisé; sa sagesse est insondable." Ce verset met en évidence la grandeur et la puissance de Dieu, thèmes centraux de la prière de Habakkuk.

Psaume 144:5: "Descendez, Seigneur, des cieux; touche les collines, afin qu'ils fument." Ce verset fait une demande à Dieu d'intervenir sur Terre, tout comme Habakkuk lui demande de sauver son peuple.

Ésaïe 35:4: "Dites le cœur découragé:" Soyez fort, n'ayez pas peur! Voyez votre Dieu: la vengeance vient, la rétribution divine; il vient les sauver. "" Ce verset apporte un message d'encouragement à ceux qui sont éprouvant des difficultés, tout comme Habakkuk cherche à encourager les habitants de Juda dans leur prière.





“Há alegrias tão sublimes e dores tão profundas que não se consegue exprimir com palavras. O silêncio é o último recurso da alma, quando ela está inefavelmente feliz ou extremamente oprimida!” São Padre Pio de Pietrelcina