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  • Au deuxième mois de l'an cent cinquante-trois, Alkime donna l'ordre d'abattre le mur de la cour intérieure du sanctuaire qui avait été édifié par des prophètes. Lorsqu'on commençait à le démolir, (1 Maccabées 9, 54)

  • En l'an cent soixante, Alexandre, fils d'Antiocus Epiphane, se mit en campagne et occupa Ptolémaïs. Il y fut bien reçu et il y commença son règne. (1 Maccabées 10, 1)

  • Voilà comment, au septième mois de l'an cent soixante, pour la fête des Tentes, Jonathan revêtit les habits sacrés; il rassembla des troupes et fabriqua beaucoup d'armes. (1 Maccabées 10, 21)

  • Ptolémée partit d'Egypte avec sa fille Cléopâtre, il arriva à Ptolémaïs en l'an cent soixante-deux. (1 Maccabées 10, 57)

  • En l'an cent soixante-cinq, Démétrius fils de Démétrius arriva de Crète au pays de ses pères. (1 Maccabées 10, 67)

  • Démétrius devint donc roi en l'an cent soixante-sept. (1 Maccabées 11, 19)

  • Près de cent vingt mille habitants se rassemblèrent au centre de la ville avec l'intention de tuer le roi. (1 Maccabées 11, 45)

  • Alors le roi appela à son secours les Juifs. Ils se regroupèrent tous autour de lui, puis ils se répandirent à travers la ville; ils massacrèrent ce jour-là près de cent mille hommes. (1 Maccabées 11, 47)

  • Envoie donc cent talents d'argent et deux de ses fils comme otages pour que, une fois libre, il ne nous échappe pas; alors nous lui rendrons la liberté." (1 Maccabées 13, 16)

  • Il envoya donc les enfants et les cent talents d'argent, mais Tryphon ne tint pas sa promesse et il ne relâcha pas Jonathan. (1 Maccabées 13, 19)

  • C'est ainsi que le joug des nations qui pesait sur Israël fut enlevé en l'an cent soixante-dix. (1 Maccabées 13, 41)

  • Il y fit une entrée solennelle le vingt-troisième jour du second mois, en l'an cent soixante et onze, avec palmes et chants de louange, au son des cithares, des cymbales, des harpes, des hymnes et des cantiques, car un grand ennemi d'Israël était abattu. (1 Maccabées 13, 51)


“Dirás tu o mais belo dos credos quando houver noite em redor de ti, na hora do sacrifício, na dor, no supremo esforço duma vontade inquebrantável para o bem. Este credo é como um relâmpago que rasga a escuridão de teu espírito e no seu brilho te eleva a Deus”. São Padre Pio de Pietrelcina