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  • Dans cette persuasion, je voulais aller d`abord vers vous, afin que vous eussiez une double grâce; (2 Corinthiens 1, 15)

  • J`ai écrit comme je l`ai fait pour ne pas éprouver, à mon arrivée, de la tristesse de la part de ceux qui devaient me donner de la joie, ayant en vous tous cette confiance que ma joie est la vôtre à tous. (2 Corinthiens 2, 3)

  • Il suffit pour cet homme du châtiment qui lui a été infligé par le plus grand nombre, (2 Corinthiens 2, 6)

  • Cette assurance-là, nous l`avons par Christ auprès de Dieu. (2 Corinthiens 3, 4)

  • Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d`Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire fût passagère, (2 Corinthiens 3, 7)

  • Et, sous ce rapport, ce qui a été glorieux ne l`a point été, à cause de cette gloire qui lui est supérieure. (2 Corinthiens 3, 10)

  • Ayant donc cette espérance, nous usons d`une grande liberté, (2 Corinthiens 3, 12)

  • Nous portons ce trésor dans des vases de terre, afin que cette grande puissance soit attribuée à Dieu, et non pas à nous. (2 Corinthiens 4, 7)

  • Et, comme nous avons le même esprit de foi qui est exprimé dans cette parole de l`Écriture: J`ai cru, c`est pourquoi j`ai parlé! nous aussi nous croyons, et c`est pour cela que nous parlons, (2 Corinthiens 4, 13)

  • Nous savons, en effet, que, si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous avons dans le ciel un édifice qui est l`ouvrage de Dieu, une demeure éternelle qui n`a pas été faite de main d`homme. (2 Corinthiens 5, 1)

  • Aussi nous gémissons dans cette tente, désirant revêtir notre domicile céleste, (2 Corinthiens 5, 2)

  • Car tandis que nous sommes dans cette tente, nous gémissons, accablés, parce que nous voulons, non pas nous dépouiller, mais nous revêtir, afin que ce qui est mortel soit englouti par la vie. (2 Corinthiens 5, 4)


Como distinguir uma tentação de um pecado e como estar certo de que não se pecou? – perguntou um penitente. Padre Pio sorriu e respondeu: “Como se distingue um burro de um homem? O burro tem de ser conduzido; o homem conduz a si mesmo!” São Padre Pio de Pietrelcina