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2 Samuel, 17

25. Absalom fit général de son armée, au lieu de Joab, Amasa, fils d'un homme de Jezraël, nommé Jéthra, qui avait épousé Abigaïl, fille de Naas, et soeur de Sarvia, mère de Joab.

Kapcsolódó versek 2 Samuel, 17:

2 Samuel 17 décrit le plan d'Aitofel d'attaquer David et ses disciples en fuite. Cependant, le conseil de Husai, qui a rejoint David, prévaut et le plan Aitofel est frustré. Puis David et ses disciples traversent la rivière Jordan et se préparent à affronter Absalom et ses disciples. Voici cinq versets liés aux sujets abordés dans 2 Samuel 17:

Psaume 3:6: "Je ne craindrai pas dix milliers de personnes qui se sont mises contre moi et m'entourent." Ce psaume, écrit par David, exprime sa confiance en Dieu face à la menace représentée par Absalom et ses disciples, même s'ils sont nombreux.

Psaume 27:1: "Le Seigneur est ma lumière et mon salut; qui vais-je craindre? Le Seigneur est-il la forteresse de ma vie; qui vais-je craindre?" David reconnaît la protection de Dieu et l'aide au milieu de l'adversité et du complot d'Absalom.

Psaume 41:11: "C'est pourquoi je sais que tu me plaies, que mon ennemi ne me triomphe pas." David se réjouit de la certitude que Dieu est de son côté et ne permettra pas à ses ennemis de triompher sur lui.

Psaume 55:22: "Jetez vos soins sur le Seigneur, et il vous soutiendra; cela ne permettra jamais que les justes soient secoués." David encourage ses disciples à faire confiance à Dieu et à lancer ses préoccupations à son sujet, confiant qu'il les soutiendra.

Psaume 62:1-2: "Seulement en Dieu, je m'attends à mon âme silencieuse; il vient à mon salut. Seulement, il est mon rocher et mon salut; c'est ma défense; je ne serai pas grandement ébranlé." Ce psaume exprime la confiance de David en Dieu comme son salut et sa protection au milieu de l'adversité et des attaques de ses ennemis.





“Onde não há obediência, não há virtude. Onde não há virtude, não há bem, não há amor; e onde não há amor, não há Deus; e sem Deus não se chega ao Paraíso. Tudo isso é como uma escada: se faltar um degrau, caímos”. São Padre Pio de Pietrelcina