Katolikus Biblia
 

2 Samuel, 4

4. Jonathas, fils de Saül, avait un fils perclus des deux pieds. Cet enfant était âgé de cinq ans lorsque la nouvelle de la mort de Saül et de Jonathas arriva de Jezraël; sa nourrice l'avait pris et s'était enfuie, et, dans la précipitation de sa fuite, il était tombé et devenu boîteux; il s'appelait Miphiboseth.

Kapcsolódó versek 2 Samuel, 4:

2 Samuel 4 décrit la mort d'Is-Boste, le fils de Saul, qui avait été proclamé roi d'Israël après la mort de son père. Deux des commandants d'Is-Boste, Baaná et Reabe conspirent contre lui et le tuent alors qu'il repose dans sa maison. Voici cinq versets liés aux sujets abordés dans ce chapitre:

Proverbes 26:27: "Celui qui fait une fosse tombera dedans; si quelqu'un roule une pierre, cela reviendra sur lui." Ce verset met en évidence l'idée que la violence et le complot contre les autres finissent par revenir contre ceux qui les commettent, comme ce fut le cas avec Baaná et Recabe.

Psaume 55:23: "Mais vous, ô Dieu, vous descendrez au four de destruction; les hommes et les trompeurs sanguinaires ne vivront pas la moitié de leurs jours; mais je vous fais confiance." Ce verset parle de confiance en Dieu pour traiter avec ceux qui sont violents et trompeurs, comme les tueurs d'Is-Boste.

Proverbes 21:30: "Il n'y a pas de sagesse, pas d'intelligence, pas de conseil contre le Seigneur." Ce verset met en évidence la souveraineté de Dieu sur toutes choses et la futilité de ceux qui conspirent contre les plans de Dieu.

Psaume 31:15: "Entre tes mains, mes jours; livrer des mains de mes ennemis et de ceux qui me persécutent." Ce verset exprime la confiance en Dieu pour protéger ceux qui sont persécutés et attaqués par leurs ennemis, quelque chose qui serait certainement souhaité.

Proverbes 24:17: "Ne soyez pas heureux quand votre ennemi tombe; votre cœur n'est pas réjoui quand il trébuche." Ce verset met en garde contre la joie face au malheur des autres et met en évidence l'importance de l'empathie, même par rapport aux ennemis.





“Amar significa dar aos outros – especialmente a quem precisa e a quem sofre – o que de melhor temos em nós mesmos e de nós mesmos; e de dá-lo sorridentes e felizes, renunciando ao nosso egoísmo, à nossa alegria, ao nosso prazer e ao nosso orgulho”. São Padre Pio de Pietrelcina