Talált 208 Eredmények: plaine de Moab

• Je me levai, et j'allai dans la plaine; et voici, là était la gloire du Seigneur, telle que je l'avais vue près du fleuve Chobar; et je tombai sur ma face. (Ezéchiel 3, 23)

• Et voici que la gloire du Dieu d'Israël était là, selon la vision que j'avais eue dans la plaine. (Ezéchiel 8, 4)

• Ainsi parle le Seigneur Dieu: Parce que Moab et Séir ont dit: Voici, la maison de Juda est comme toutes les nations; (Ezéchiel 25, 8)

• à cause de cela, voici, J'ouvrirai le flanc de Moab, du côté des villes, de ses villes, dis-Je, et de ses frontières, les belles villes du pays, Bethjésimoth, Béelméon et Cariathaïm; (Ezéchiel 25, 9)

• Sur Moab aussi J'exercerai Mes jugements, et ils sauront que Je suis le Seigneur. (Ezéchiel 25, 11)

• Et il me dit: Ces eaux qui sortent vers les monceaux de sable de l'orient, et qui descendent dans la plaine du désert, entreront dans la mer et en sortiront, et les eaux de la mer deviendront saines. (Ezéchiel 47, 8)

• Il entrera dans le pays de gloire, et plusieurs provinces succomberont. Celles-ci seules seront sauvées de ses mains: Edom, Moab et la principauté des enfants d'Ammon. (Daniel 11, 41)

• Ainsi parle le Seigneur: A cause de trois crimes de Moab, et même de quatre, Je ne changerai pas Mon arrêt, parce qu'il a brûlé les os du roi de l'Idumée jusqu'â les réduire en cendre. (Amos 2, 1)

• J'enverrai le feu dans Moab, et il dévorera les édifices de Carioth, et Moab périra dans le tumulte, au son de la trompette. (Amos 2, 2)

• Ceux du midi hériteront de la montagne d'Esaü, et ceux de la plaine, le pays des Philistins; et ils posséderont le pays d'Ephraïm, et le pays de Samarie, et Benjamin possédera Galaad. (Abdias 1, 19)

• Mon peuple, souviens-toi, Je te prie, du dessein de Balac, roi de Moab, et de ce que lui répondit Balaam, fils de Béor, depuis Sétim jusqu'à Galgala, et reconnais les justices du Seigneur. (Michée 6, 5)

• J'ai entendu les insultes de Moab et les blasphèmes des enfants d'Ammon, qui ont outragé Mon peuple, et qui se sont élevés arrogamment contre ses frontières. (Sophonie 2, 8)