Talált 806 Eredmények: bon

  • Esaü lui répondit: J'ai les biens en abondance, mon frère; gardez pour vous ce qui est à vous. (Genèse 33, 9)

  • Je suis tout prêt, lui dit Joseph. Jacob ajouta: Va, et vois si tes frères se portent bien et si les troupeaux sont en bon état, et tu me rapporteras ce qui se passe. Ayant donc été envoyé de la vallée d'Hébron, il vint à Sichem; (Genèse 37, 14)

  • Seulement souvenez-vous de moi quand ce bonheur vous sera arrivé, et rendez-moi le bon office de supplier le Pharaon qu'il daigne me tirer de la prison où je suis; (Genèse 40, 14)

  • Les sept vaches si belles et les sept épis si pleins de grains, que le roi a vus en songe, marquent la même chose, et signifient sept années d'abondance. (Genèse 41, 26)

  • Qui seront suivies de sept autres d'une si grande stérilité, qu'elle fera oublier toute l'abondance qui l'aura précédée: car la famine consumera toute la terre; (Genèse 41, 30)

  • On mit aussi en réserve dans toutes les villes cette grande abondance de grains. (Genèse 41, 48)

  • Il les salua aussi, en leur faisant bon visage, et il leur demanda: Votre père, ce vieillard dont vous m'aviez parlé, vit-il encore? Se porte-t-il bien? (Genèse 43, 27)

  • Il leur dit avec bonté: Approchez-vous de moi. Et ils s'approchèrent. Il ajouta: Je suis Joseph votre frère, que vous avez vendu pour être conduit en Egypte. (Genèse 45, 4)

  • Les fils de Gad étaient Séphion, Haggi, Suni, Esebon, Héri, Arodi et Aréli. (Genèse 46, 16)

  • Et après avoir souhaité toute sorte de bonheur au roi, il se retira. (Genèse 47, 10)

  • Comme il vit que le jour de sa mort approchait, il appela son fils Joseph, et lui dit: Si j'ai trouvé grâce devant vous, mettez votre main sous ma cuisse, et donnez-moi cette marque de bonté, de me promettre avec vérité que vous ne m'enterrerez point en Egypte; (Genèse 47, 29)

  • Et voyant que le repos est bon et que la terre est excellente, il a baissé l'épaule sous les fardeaux, et il s'est aussujetti à payer les tributs. (Genèse 49, 15)


“Deus não opera prodígios onde não há fé.” São Padre Pio de Pietrelcina