Talált 40 Eredmények: j'aurais

  • Mais vous, vous dites : " Quiconque dit à son pèreou à sa mère : Ce dont j'aurais pu vous assister est offrande, ? (Matthieu 15, 5)

  • il te fallait donc porter monargent aux banquiers, et, à mon retour, j'aurais repris ce qui est mien avec un intérêt. (Matthieu 25, 27)

  • Mais vous, vous dites : " Si un homme dit à son père ou à sa mère : Ce dont j'aurais pu t'assister est qorban, " c'est-à-dire offrande, (Marc 7, 11)

  • et celui qui vous aurait invités l'un et l'autre viendrait te dire : " Cède-lui la place, " et alors tu n'aurais, avec confusion, qu'à occuper la dernière place. (Luc 14, 9)

  • alors pourquoi n'as-tu pas mis mon argent à la banque? Et à mon retour, je l'aurais recouvré avec un intérêt. " (Luc 19, 23)

  • Il y a beaucoup de demeures dans la maison de mon Père; s'il en était autrement, je vous l'aurais dit, car je vais vous y préparer une place. (Jean 14, 2)

  • Jésus répondit: "Tu n'aurais sur moi aucun pouvoir, s'il ne t'avait pas été donné d'en haut. C'est pourquoi celui qui m'a livré à toi a un plus grand péché." (Jean 19, 11)

  • Agrippe [dit] à Festus : " J'aurais voulu, moi aussi, entendre cet homme. " [L'autre :] " Demain, dit-il, tu l'entendras. " (Actes des Apôtres 25, 22)

  • Que dirons-nous donc? La loi est-elle péché? Loin de là ! Mais je n'ai connu le péché que par la Loi; par exemple, je n'aurais pas connu la convoitise, si la Loi ne disait : " Tu ne convoiteras point. " (Romains 7, 7)

  • Quand j'aurais le don de prophétie, que je connaîtrais tous les mystères, et que je posséderais toute science; quand j'aurais même toute la foi, jusqu'à transporter des montagnes, si je n'ai pas la charité, je ne suis rien. (1 Corinthiens 13, 2)

  • Est-ce donc qu'en formant ce dessein j'aurais agi avec légèreté? Ou bien est-ce que les projets que je fais, je les fais selon la chair, de sorte qu'il y ait en moi le oui et le non? (2 Corinthiens 1, 17)

  • Car si moi-même je vous attriste, de qui puis-je attendre de la joie? N'est-ce pas de celui même que j'aurais affligé? (2 Corinthiens 2, 2)


“É difícil tornar-se santo. Difícil, mas não impossível. A estrada da perfeição é longa, tão longa quanto a vida de cada um. O consolo é o repouso no decorrer do caminho. Mas, apenas restauradas as forças, é necessário levantar-se rapidamente e retomar a viagem!” São Padre Pio de Pietrelcina