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Car si moi-même je vous attriste, de qui puis-je attendre de la joie? N'est-ce pas de celui même que j'aurais affligé? (2 Corinthiens 2, 2)
Ainsi, quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne le regrette plus, bien que je l'aie d'abord regretté, ? car je vois que cette lettre vous a attristés, ne fût-ce que pour un moment, ? (2 Corinthiens 7, 8)
J'ai engagé Tite à aller chez vous, et avec lui j'ai envoyé le frère que vous savez : est-ce que Tite à rien tiré de vous? N'avons-nous pas marché dans le même esprit, suivi les mêmes traces? (2 Corinthiens 12, 18)
En ce moment, est-ce la faveur des hommes, ou celle de Dieu que je recherche? Mon dessein est-il de complaire aux hommes? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas serviteur du Christ. (Galates 1, 10)
Voici seulement ce que je voudrais savoir de vous : Est-ce par les ?uvres de la Loi que vous avez reçu l'Esprit, ou par la soumission de la foi? (Galates 3, 2)
Quelle est, en effet, notre espérance, notre joie, notre couronne de gloire? N'est-ce pas vous qui l'êtes, devant notre Seigneur Jésus, pour le jour de son avènement? (1 Thessaloniciens 2, 19)
Aussi quelqu'un a-t-il écrit quelque part ce témoignage : " Qu'est-ce que l'homme, pour que vous vous souveniez de lui; ou le fils de l'homme pour que vous en preniez soin? (Hébreux 2, 6)
Qui sont, en effet, ceux qui, après "avoir entendu la voix de Dieu", se révoltèrent? Mais ne sont-ce pas tous ceux qui étaient sortis de l'Egypte sous la conduite de Moïse? (Hébreux 3, 16)
Et contre qui Dieu fut-il "irrité pendant quarante ans !" N'est-ce pas contre ceux qui avaient péché, et dont les cadavres jonchèrent le désert? (Hébreux 3, 17)
Mais le Christ ayant paru comme grand prêtre des biens à venir, c'est en passant par un tabernacle plus ex-cellent et plus parfait, qui n'est pas construit de main d'homme, c'est-à--dire, qui n'appartient pas à cette créa-tion-ci (Hébreux 9, 11)
n'est-ce pas faire entre vous des distinctions, et vous établir juges aux pensées perverses? (Jacques 2, 4)
Et vous, vous faites affront au pauvre ! Ne sont-ce pas les riches qui vous oppriment et qui vous traînent devant les tribunaux? (Jacques 2, 6)