Talált 166 Eredmények: Steppes-de-Moab
Moab étendra les mains dans sa fosse comme le nageur les étend pour nager, mais Yahvé rabaissera son orgueil quels que soient ses stratagèmes. (Isaïe 25, 11)
Ils n'ont pas demandé: Où est Yahvé qui nous a fait monter du pays d'Egypte, qui nous a conduit par le désert, à travers ces lieux de steppes et de ravins, pays de la sécheresse et de l'ombre mortelle, pays que nul ne traverse, où nul n'a sa demeure? (Jéremie 2, 6)
l'Egypte, Juda, Edom, les fils d'Ammon, Moab et tous les hommes aux tempes rasées qui habitent le désert. Car tous ces païens n'ont pas la circoncision, et les gens d'Israël n'ont pas la circoncision du coeur. (Jéremie 9, 25)
Puis à Edom, Moab et les fils d'Ammon, (Jéremie 25, 21)
Tu vas envoyer un message aux rois d'Edom, de Moab, d'Ammon, de Tyr et de Sidon, par l'intermédiaire de leurs envoyés qui sont venus à Jérusalem pour voir Sédécias, roi de Juda. (Jéremie 27, 3)
Mais l'armée des Kaldéens les poursuivit, et elle rattrapa Sédécias dans les steppes de Jéricho. Il fut fait prisonnier et conduit à Nabukodonozor, roi de Babylone, qui était à Ribla, au pays de Hamat. Le roi de Babylone le fit passer en jugement; (Jéremie 39, 5)
Tous les Judéens qui étaient au pays de Moab, chez les Ammonites ou en Edom, apprirent dans ces différents pays que le roi de Babylone avait laissé un reste à Juda, et qu'il avait établi sur eux Godolias, fils d'Ahikam fils de Chafan. (Jéremie 40, 11)
A propos de Moab, voici ce que dit Yahvé Sabaot, le Dieu d'Israël: Malheur à Nébo, elle est saccagée, honte à Kiryatayim, elle été prise, la Citadelle a été violée, (Jéremie 48, 1)
la gloire de Moab n'est plus! A Heshbon, on a préparé sa chute: "Venez, rayons-la des villes du pays!" Toi aussi, Madmen, réduite au silence! derrière toi arrive l'épée. (Jéremie 48, 2)
Moab est brisé, jusqu'à Soar on entend ses cris. (Jéremie 48, 4)
Donnez des ailes à Moab pour qu'il puisse s'envoler! Ses villes deviendront un désert et plus personne n'y demeurera. (Jéremie 48, 9)
Moab était en paix depuis sa jeunesse, reposant sur sa lie comme un vin que l'on n'a pas vidé de cruche en cruche. Jamais il n'était allé en exil, c'est pourquoi il gardait son goût et son arôme lui restait. (Jéremie 48, 11)
