Katolička Biblija
 

Juges, 12

1. Les hommes d'Ephraïm, s'étant ras-semblés,passèrent vers Saphon et di-rent à Jephté :"Pourquoi es-tu allé combattre les fils d'Ammon, sans nousavoir appelés à marcher avec toi? Nous allonsbrûler sur toi ta maison."

Stihovi vezani uz Juges, 12:

Les juges 12 racontent le différend entre les hommes de Gilead et les Éphraïmites. Les Éphraïtes remettent en question l'exclusion de leur tribu de guerre contre Ammon et menacent d'envahir Gilead. Le chef de Gilead, Jeth, conduit ses troupes à vaincre les Éphraïtes et à contrôler les passages du Jordan.

Joshua 22:10: "Et quand ils ont atteint les terres de Gilead, qui appartenait à Israël, les fils de Rúben, les fils de Gade, et la demi-tribu de Manassé y construit un autel à côté de Jordan, un grand autel en apparence. " Ce verset parle de construire un autel pour les fils de Rúben, Gade et Manassé à Gilead, où la bataille entre Gilead et Efraim s'est produite.

Psaume 60:8: "En Dieu, nous ferons des prouesses, car il calculera nos adversaires aux pieds." Ce verset parle de confiance en Dieu pour aider à surmonter les ennemis, quelque chose que les hommes de Gilead ont fait dans la bataille contre les Éphraïmites.

Ésaïe 9:21: "Manassé à Ephraim, et Ephraim à Manassé, et les deux s'unissent contre Juda. Cependant, sa colère n'a pas dévié, et sa main est toujours étendue à blesser." Ce verset parle de la rivalité entre les tribus d'Ephraïm et de Manasseh, une rivalité qui s'est manifestée dans la bataille contre Gilead.

Proverbes 15:1: "La réponse légère détourne la fureur, mais le mot dure soulève la colère." Ce verset parle de l'importance de répondre calmement et de bienveiller pour éviter les conflits, quelque chose que les Éphraïmites n'ont pas fait en menaçant Gilead.

Romains 12:18: "Si c'est possible, combien cela dépend de vous, tend la paix avec tous les hommes." Ce verset parle de l'importance de la paix et de la réconciliation, quelque chose que les hommes de Gilead ont cherché à la bataille contre les Éphraïmites.





“Há alegrias tão sublimes e dores tão profundas que não se consegue exprimir com palavras. O silêncio é o último recurso da alma, quando ela está inefavelmente feliz ou extremamente oprimida!” São Padre Pio de Pietrelcina