Katolička Biblija
 

Isaïe, 10

20. Et il arrivera en ce jour-là ; Le reste d'Israël et les réchappés de la maison de Jacob ne continueront pas de s'appuyer sur celui qui les frappait, mais ils s'appuieront sur Yahweh, le Saint d'Israël, avec fidélité.

Stihovi vezani uz Isaïe, 10:

Ésaïe 10 décrit le jugement de Dieu sur le roi d'Assyrie, qu'il avait utilisé pour discipliner son peuple, mais maintenant il avait été exalté dans sa fierté et sa cruauté. Le chapitre parle également du rôle de Dieu en tant que juge et défenseur de son peuple, promettant qu'il protégera et libérera son peuple du pouvoir oppressif de l'Assyrie. Vous trouverez ci-dessous cinq versets liés aux sujets abordés dans Ésaïe 10:

Psaume 9:7-8: "Le Seigneur est éternel; il a établi son trône pour juger. Il juge lui-même le monde avec justice; régit les peuples de justice." Ce verset met en évidence le rôle de Dieu en tant que juge juste, un thème central dans Ésaïe 10.

Psaume 94:22: "Mais le Seigneur a été ma forteresse et mon Dieu le rocher de mon refuge." Ce verset parle de la protection que Dieu offre à son peuple en temps de danger et d'oppression, un thème central dans Ésaïe 10.

Psaume 121:7: "Le Seigneur vous gardera de tout mal; il gardera votre âme." Ce verset parle également de la protection que Dieu offre à son peuple, un thème central d'Isaïe 10.

Psaume 124:1-2: "Si le Seigneur n'avait pas été à nos côtés, maintenant, disons Israël; si le Seigneur n'avait pas été à nos côtés, quand les hommes se sont levés contre nous." Ce verset parle du rôle de Dieu en tant que défenseur et protecteur de son peuple, un thème central dans Ésaïe 10.

Psaume 146:7: "Le Seigneur donne la liberté aux captifs; le Seigneur ouvre les yeux sur les aveugles; le Seigneur soulève les massacrés; le Seigneur aime les justes." Ce verset parle du pouvoir de Dieu de libérer son peuple de l'oppression, un thème central dans Ésaïe 10.





“É doce o viver e o penar para trazer benefícios aos irmãos e para tantas almas que, vertiginosamente, desejam se justificar no mal, a despeito do Bem Supremo.” São Padre Pio de Pietrelcina