4. Vous n'avez pas raffermi la brebis épuisée, vous n'avez pas soigné celle qui était malade, ni pansé celle qui était blessée, vous n'avez pas ramené la brebis égarée, et pas même cherché celle qui était perdue. Quant à celles qui étaient fortes, vous les avez menées par la terreur.





“É doce o viver e o penar para trazer benefícios aos irmãos e para tantas almas que, vertiginosamente, desejam se justificar no mal, a despeito do Bem Supremo.” São Padre Pio de Pietrelcina