Katolinen Raamattu
 

Jean, 4

27. A ce moment-là revinrent les disciples, et ils s'étonnaient de le voir parler avec une femme. Pourtant aucun d'entre eux n'osa lui demander: "Que cherches-tu?" ou: "Pourquoi lui parles-tu?"

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Le chapitre 4 de l'Évangile de Jean rapporte la rencontre de Jésus avec une femme samaritaine à côté du puits de Jacob. Au cours de la conversation, Jésus révèle qu'il est le Messie attendu et que la femme partagera les nouvelles avec ses compatriotes. Vous trouverez ci-dessous cinq versets liés aux sujets abordés dans ce chapitre:

1 Corinthiens 3:6: "J'ai planté, Apollo a arrosé, mais c'est Dieu qui a donné la croissance." Ce verset fait référence à la métaphore de la récolte que Jésus utilise pendant la conversation avec la femme samaritaine, montrant que la graine qu'il a plantée germera à la vie éternelle.

Jean 6:35: "Je suis le pain de la vie, celui qui vient à moi n'aura pas faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif." Dans ce verset, Jésus utilise un langage métaphorique pour expliquer qu'il est la source de l'eau vive, qui éteint la soif spirituelle de la femme samaritaine.

Psaume 36:9: "Car la source de vie est en vous; grâce à votre lumière, nous voyons la lumière." Ce psaume se rapporte à la révélation de Jésus à la femme samaritaine comme la source de l'eau vive et la lumière qui guide le salut.

Jean 7:38: "Celui qui croit en moi, comme le dit l'Écriture, les rivières de l'eau vive vont de son ventre." Ce verset se rapporte à la métaphore de l'eau vive utilisée par Jésus lors de la conversation avec la femme samaritaine et montre comment la foi en Jésus peut déborder dans les bénédictions aux autres.

1 Jean 4:16: "Et nous savons et croyons en l'amour que Dieu a pour nous. Dieu est l'amour, et celui qui reste amoureux reste en Dieu, et Dieu en lui." Ce verset se rapporte au message de l'amour que Jésus partage avec la femme Samaritaine et montre comment la foi en Dieu peut transformer la vie des gens.





“Amar significa dar aos outros – especialmente a quem precisa e a quem sofre – o que de melhor temos em nós mesmos e de nós mesmos; e de dá-lo sorridentes e felizes, renunciando ao nosso egoísmo, à nossa alegria, ao nosso prazer e ao nosso orgulho”. São Padre Pio de Pietrelcina