Löydetty 136 Tulokset: Mari

  • Le septième jour, ils dirent à la femme deSamson: "Persuade à ton mari de nous expliquerl'énigme; sinon, nous te brûlerons, toi et la maisonde ton père. C'est pour nous dépouiller que vousnous avez invités, sans doute?" (Juges 14, 15)

  • Son mari se leva et alla vers elle, pour parler à soncoeur et la ramener à lui ; il avait avec lui sonserviteur et deux ânes. Elle le fit entrer dans la maisonde son père; et quand le père de la jeune femme levit, il alla avec joie au-devant de lui. (Juges 19, 3)

  • S'étant assis, ils mangèrent tous deux ensembleet burent. Puis le père de la jeune femme dit au mari :"Consens, je te prie, à passer la nuit, et que ton coeurse réjouisse." (Juges 19, 6)

  • Le mari se leva pour s'en aller; mais, sur les instances de sonbeau-père, il revint et y passa encore la nuit. (Juges 19, 7)

  • Le mari se levait pour s'en aller, lui, sa concubine et sonserviteur; mais son beau-père, le père de la jeunefemme, lui dit : "Voici, le jour s'incline vers le soir; je vousprie, passez donc ici la nuit; voici que le jour baisse, passeici la nuit, et que ton coeur se réjouisse; demain vousvous lèverez de bon matin pour vous mettre en route, et tut'en iras à ta tente." (Juges 19, 9)

  • Le mari ne consentit pas à passer la nuit; il se levaet partit. Il vint jusqu'en face de Jébus, qui estJéru-salem, ayant avec lui les deux ânesbâtés et sa concubine. (Juges 19, 10)

  • Son mari se leva le matin et, ayant ouvert la porte de lamaison, il sortit pour continuer sa route. Et voici que la femme,sa concubine, était étendue àI'entrée de la maison, les mains sur le seuil. (Juges 19, 27)

  • Il lui dit : "Lève-toi et allons-nous-en." et personnene répondit. Alors le mari la mit sur son âne etpartit pour aller dans sa demeure. (Juges 19, 28)

  • Alors le Lévite, le mari de la femme qui avaitété tuée, prit la parole et dit :"J'étais entré à Gabon de Benjamin, moi etma concubine, pour y passer la nuit. (Juges 20, 4)

  • Elimélech mari de Noémi, mourut, et elle resta seule avec ses deux fils, (Ruth 1, 3)

  • Mahalon et Cheljon moururent aussi tous deux, et la femme resta privée de ses deux fils et de son mari. (Ruth 1, 5)

  • Retournez, mes filles, allez. Je suis trop âgée pour me remarier. Et quand je dirais : J'ai de l'espérance; quand je serais cette nuit même à un mari et que j'enfanterais des fils, (Ruth 1, 12)


“Quando a videira se separa da estaca que a sustenta, cai, e ao ficar na terra apodrece com todos os cachos que possui. Alerta, portanto, o demônio não dorme!” São Padre Pio de Pietrelcina