Löydetty 4781 Tulokset: mon

  • Isaac dit à Jacob: "Avance-toi donc que je te touche, mon fils, pour savoir si c'est toi mon fils Esaü, ou non." (Genèse 27, 21)

  • Il lui demanda: "C'est bien toi, mon fils Esaü?" Jacob répondit: "C'est moi." (Genèse 27, 24)

  • Son père lui dit: "Sers-moi donc, je veux manger du gibier de mon fils, et ensuite je te bénirai." Jacob servit son père, qui mangea, puis il lui apporta du vin, et il but. (Genèse 27, 25)

  • Alors son père Isaac lui dit: "Avance-toi et embrasse-moi, mon fils." (Genèse 27, 26)

  • Jacob s'avança et embrassa Isaac. Celui-ci respira la bonne odeur de ses habits et il lui donna cette bénédiction: "Cette odeur de mon fils est celle d'un champ que Yahvé a béni. (Genèse 27, 27)

  • Il prépara lui aussi un repas et l'apporta à son père en lui disant: "Mon père, lève-toi et mange du gibier de ton fils, ensuite tu me béniras." (Genèse 27, 31)

  • Lorsqu'Esaü entendit les paroles de son père, il poussa des cris amers; il dit à son père: "Bénis-moi aussi, mon père!" (Genèse 27, 34)

  • Esaü répondit: "On a eu raison de l'appeler Jacob, car il m'a supplanté par deux fois. Il m'a déjà pris mon droit d'aînesse, et maintenant il me prend la bénédiction." Il ajouta: "Ne m'as-tu pas réservé une bénédiction?" (Genèse 27, 36)

  • Isaac répondit à Esaü: "Regarde, j'ai fait de lui ton chef de famille, et je lui ai donné tous ses frères pour serviteurs. Je l'ai pourvu de blé et de vin. Que puis-je encore pour toi, mon fils?" (Genèse 27, 37)

  • Esaü dit à son père: "N'aurais-tu donc qu'une seule bénédiction? Bénis-moi aussi mon père!" Esaü pleurait, poussait des cris. (Genèse 27, 38)

  • Esaü maintenant détestait Jacob à cause de la bénédiction que lui avait donnée son père. Il se dit en lui-même: "On fera bientôt le deuil de mon père, alors je tuerai mon frère Jacob." (Genèse 27, 41)

  • Fais donc ce que je te dis, mon fils: il te faut partir et te réfugier chez mon frère Laban à Harrân. (Genèse 27, 43)


“O Senhor sempre orienta e chama; mas não se quer segui-lo e responder-lhe, pois só se vê os próprios interesses. Às vezes, pelo fato de se ouvir sempre a Sua voz, ninguém mais se apercebe dela; mas o Senhor ilumina e chama. São os homens que se colocam na posição de não conseguir mais escutar.” São Padre Pio de Pietrelcina