Löydetty 186 Tulokset: Jonathan

  • Jonathan lui fit confiance et fit comme il avait dit; il renvoya ses hommes qui retournèrent en Judée, (1 Maccabées 12, 46)

  • Mais Jonathan était à peine entré à Ptolémaïs que les habitants refermèrent les portes, mirent la main sur lui et tuèrent par l'épée tous ceux qui l'accompagnaient. (1 Maccabées 12, 48)

  • Pendant ce temps, Tryphon envoyait une armée et des cavaliers en Galilée pour massacrer dans la Grande Plaine tous les hommes de Jonathan. (1 Maccabées 12, 49)

  • Mais quand ceux-ci entendirent que Jonathan avait été pris et mis à mort avec tous ses compagnons, ils s'encouragèrent les uns les autres et firent la route en rangs serrés, prêts à combattre. (1 Maccabées 12, 50)

  • et c'est ainsi qu'ils rentrèrent tous sans difficulté au pays de Juda; ils pleurèrent Jonathan et ses compagnons et furent saisis d'une grande crainte. Tout Israël fit un grand deuil. (1 Maccabées 12, 52)

  • ils répondirent par de grandes acclamations: "Tu seras notre chef à la place de Judas et de ton frère Jonathan! (1 Maccabées 13, 8)

  • Puis il envoya à Joppé Jonathan fils d'Absalon avec une puissante armée; celui-ci en chassa tous les habitants et s'installa dans la ville. (1 Maccabées 13, 11)

  • Tryphon quitta Ptolémaïs avec une puissante armée pour envahir le pays de Juda; il emmenait avec lui Jonathan prisonnier. (1 Maccabées 13, 12)

  • Lorsque Tryphon apprit que Simon avait pris le commandement à la place de son frère Jonathan et qu'il était prêt à le combattre, il lui envoya des messagers: (1 Maccabées 13, 14)

  • "Nous retenons ton frère Jonathan prisonnier, dirent-ils, à cause de l'argent qu'il doit au trésor royal comme haut-fonctionnaire. (1 Maccabées 13, 15)

  • "C'est parce qu'il n'a pas envoyé l'argent et les enfants que Jonathan est mort." (1 Maccabées 13, 18)

  • Il envoya donc les enfants et les cent talents d'argent, mais Tryphon ne tint pas sa promesse et il ne relâcha pas Jonathan. (1 Maccabées 13, 19)


“Quando te encontrares diante de Deus, na oração considera-te banhado na luz da verdade, fala-lhe se puderes, deixa simplesmente que te veja e não tenhas preocupação alguma”. São Padre Pio de Pietrelcina