Job, 22
6. Tu as pris sans raison des gages à tes frères, et tu as dépouillé de leurs vêtements ceux qui étaient nus.
6. Tu as pris sans raison des gages à tes frères, et tu as dépouillé de leurs vêtements ceux qui étaient nus.
Dans le chapitre 22 du livre de Job, l'ami de Job, Elifaz, accuse Job de pécher contre Dieu et suggère que ses souffrances sont une punition divine. Elifaz soutient que si Job se repent et se tournant vers Dieu, il sera à nouveau restauré et béni. Cependant, Job affirme son innocence et continue de se demander pourquoi Dieu lui a permis de souffrir autant. Vous trouverez ci-dessous cinq versets liés aux sujets abordés dans Job 22:
Psaume 37:25: "J'ai été un jeune homme, et maintenant je suis vieux; mais je n'ai jamais vu les justes impuissants, ni sa progéniture pour supplier le pain." Ce verset suggère que Dieu n'abandonne pas les justes, contrairement à la déclaration d'Elifaz selon laquelle le travail souffre à cause de ses péchés.
Proverbes 11:8: "Le droit est livré de l'angoisse, et les méchants viennent à sa place." Ce verset peut être considéré comme une réponse aux accusations d'Elifaz que le travail souffre parce qu'il a péché.
Ésaïe 55:6-7: "Cherchez le Seigneur aussi longtemps que l'on peut le trouver, invoquez-le pendant qu'il est proche. Laissez les méchants à sa façon, et l'homme maléfique ses pensées; et se convertit au Seigneur, qui sera sympathisé; à Notre Dieu, parce qu'il est génial de pardonner. " Elifaz insiste sur le fait que Job doit se repentir et se tourner vers Dieu pour être restauré, et ce verset peut être considéré comme une exhortation similaire.
Romains 8:28: "Et nous savons que toutes choses contribuent ensemble au bien de ceux qui aiment Dieu, ceux qui sont appelés par leur décret." Ce verset suggère que Dieu peut même utiliser de mauvaises choses pour le bien de ses enfants, qui est un concept que Job a du mal à comprendre.
Hébreux 12:6: "Car le Seigneur corrige ce qu'il aime et fouetter à quiconque qu'il reçoit pour son fils." Ce verset peut être considéré comme une réponse à la déclaration d'Elifaz selon laquelle Job souffre parce que Dieu punit ses péchés. Il suggère que Dieu discipline ceux qu'il aime, ce qui peut être un aspect de la souffrance de Job.
“As almas! As almas! Se alguém soubesse o preço que custam”. São Padre Pio de Pietrelcina
