Jean, 9
17. Ils dirent donc de nouveau à l'aveugle: Toi, que dis-tu de Celui qui t'a ouvert les yeux? Il répondit: C'est un prophète.
17. Ils dirent donc de nouveau à l'aveugle: Toi, que dis-tu de Celui qui t'a ouvert les yeux? Il répondit: C'est un prophète.
Le chapitre 9 de l'Évangile de Jean raconte la guérison d'un aveugle de naissance par Jésus et comment il déclenche un grand conflit avec les pharisiens, qui remettent en question l'autorité de Jésus. De plus, le chapitre aborde également la question du péché et de la cécité spirituelle. Vous trouverez ci-dessous cinq versets liés à ces thèmes:
Psaume 146:8 - "Le Seigneur donne une vue aux aveugles; le Seigneur soulève les massacrés; le Seigneur aime les justes." Ce verset montre que Dieu est capable de guérir la cécité et qu'il se soucie de ceux qui sont opprimés et nécessiteux.
Ésaïe 42:7 - "Ouvrir les yeux des aveugles, enlever les captifs de la prison et la prison de ceux qui se trouvaient dans l'obscurité." Dans ce verset, Ésaïe prophétise que le Messie guérira les aveugles et libérera les captifs.
Matthieu 23:24 - "Guides aveugles, qui coordonne le moustique et avale le chameau!" Jésus utilise cette phrase pour critiquer les pharisiens qui s'inquiétaient des petites choses, mais ont ignoré les grands problèmes de son époque, comme l'oppression des pauvres.
Jean 3:19 - "Et la condamnation est la suivante: la lumière est venue dans le monde, et les hommes aimaient l'obscurité plus que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises." Ce verset montre que la raison pour laquelle les gens restent dans leur cécité spirituelle est qu'ils préfèrent le péché et rejettent la vérité.
Jean 12:40- "Ils ont aveuglé leurs yeux, et ont durci leur cœur, qu'ils ne voient pas avec leurs yeux, ni ne comprennent avec leur cœur, ni ne convertissent, et je les guéris." Ce verset est une citation d'Isaïe 6:10 et montre comment la cécité spirituelle peut être un jugement divin sur ceux qui rejettent le message de Dieu.
“Devo fazer somente a vontade de Deus e, se lhe agrado, o restante não conta.” São Padre Pio de Pietrelcina
