10. Les ambassadeurs, étant revenus, firent leur rapport à Bénadad, qui les renvoya encore, et fit dire à Achab : Que les dieux me traitent dans toute leur sévérité, si toute la poussière de Samarie suffit pour remplir seulement le creux de la main de tous les gens qui me suivent.





“Meu Deus, perdoa-me. Nunca Te ofereci nada na minha vida e, agora, por este pouco que estou sofrendo, em comparação a tudo o que Tu sofreste na Cruz, eu reclamo injustamente!” São Padre Pio de Pietrelcina