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Ecclésiaste (or Qohélet), 3

11. Dieu a fait toute chose belle en son temps, il a mis aussi dans leur c?ur l'éternité, mais sans que l'homme puisse comprendre l'?uvre que Dieu fait, du commencement jusqu'à la fin.

Versos relacionados con Ecclésiaste (or Qohélet), 3:

Ecclésiastes 3 est un chapitre qui traite de la dualité de la vie et du temps, montrant qu'il y a un bon moment pour tout sous le ciel, comme Born, Dying, Planting, Love, Hating, Crying, Riing, entre autres. Certains des sujets abordés sont la fugacité de la vie, l'inévitabilité de la mort et l'importance de profiter de chaque instant.

Psaume 90:12: "Apprenez-nous à dire à nos jours que notre cœur atteint la sagesse." Le psalmiste demande à Dieu de lui apprendre à dire ses jours afin qu'il puisse vivre sage et consciemment, reconnaissant la brièveté de la vie.

Jacques 4:14: "Ne savez-vous même pas ce qui vous arrivera demain! Quelle est votre vie? Vous êtes comme le brouillard qui apparaît un peu de temps et se dissipe." L'apôtre James met également en évidence la brièveté de la vie et son incertitude, se rappelant que la vie humaine est comme un brouillard qui disparaît rapidement.

Hébreux 9:27: "Et tout comme les hommes sont ordonnés de mourir une fois, après cela, le jugement." L'auteur d'Hébreux souligne que la mort est inévitable et que tout le monde devra rendre compte de Dieu dans le jugement dernier.

Psaume 39:4: "Faites-moi savoir, Seigneur, ma fin, et quelle est la mesure de mes jours, afin que je sache à quel point je suis fragile." Le psalmiste pleure à Dieu pour lui montrer la brièveté de la vie et sa fragilité, reconnaissant que son existence est finie et doit profiter de chaque instant.

Matthieu 6:34: "Par conséquent, ne vous inquiétez pas pour demain, car demain apportera vos propres préoccupations. Votre propre mal est suffisant chaque jour." Jésus enseigne que nous devrions vivre un jour à la fois, sans nous soucier excessivement de l'avenir, mais profiter du présent.





“Há alegrias tão sublimes e dores tão profundas que não se consegue exprimir com palavras. O silêncio é o último recurso da alma, quando ela está inefavelmente feliz ou extremamente oprimida!” São Padre Pio de Pietrelcina