Biblia Católica
 

1 Chroniques, 4

18. Son autre femme, la Juive, enfanta Jared, père de Gédor, Héber, père de Socho, et Icuthiel, pére de Zanoé. Ceux-là sont les fils de Béthia, fille de Pharaon, que Méred avait prise pour femme.

Versos relacionados con 1 Chroniques, 4:

1 Chronicles 4 décrit la généalogie de Juda, mettant en évidence une liste de noms et des bénédictions que Dieu a accordées à certains d'entre eux. De plus, le chapitre présente également la prière des jabes, qui a demandé à Dieu des bénédictions et de la protection.

Genèse 12:2: "Je ferai une grande nation de vous, et je vous bénirai, et je vous agrandirai le nom. Soyez une bénédiction!" - La bénédiction de Dieu sur Abraham et sa progéniture est réaffirmée, qui se rapporte au thème des bénédictions dans 1 Chronicles 4.

Psaume 20:4: "Accordez-vous en fonction de votre cœur et remplissez tout votre but." - Ce verset parle de l'accomplissement des désirs de son cœur, ce que cherche la prière de Jabes.

2 Chroniques 20:12: "O notre Dieu, peut-être ne vous jugerez pas? Car il n'y a pas de force dans cette grande multitude qui s'approche de nous, et nous ne savons pas ce que nous ferons; mais nos yeux vous sont mis. " - La prière de Jabes est un exemple de la confiance et de la dépendance de Dieu, similaire à la confiance que le roi Jehoshaphat a placé dans Dieu dans 2 Chroniques 20.

Néhémie 11:6: "Tous les enfants de Pérez, qui ont habité à Jérusalem, étaient quatre cent soixante hommes courageux." - Ce verset parle des descendants de Juda qui vivaient à Jérusalem, qui est un thème abordé dans 1 Chronicles 4.

Exode 33:15: "Alors Moïse a répondu au Seigneur, si votre présence ne va pas avec moi, ne nous faisons pas monter d'ici." - Ce verset souligne l'importance de la présence de Dieu dans la vie de son peuple, qui est une question centrale dans la prière des jabes dans 1 Chroniques 4.





“Há alegrias tão sublimes e dores tão profundas que não se consegue exprimir com palavras. O silêncio é o último recurso da alma, quando ela está inefavelmente feliz ou extremamente oprimida!” São Padre Pio de Pietrelcina