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Ne regarde pas le vin qui paraît d`un beau rouge, Qui fait des perles dans la coupe, Et qui coule aisément. (Proverbes 23, 31)
Il se coupe les pieds, il boit l`injustice, Celui qui donne des messages à un insensé. (Proverbes 26, 6)
(7:3) Ton sein est une coupe arrondie, Où le vin parfumé ne manque pas; Ton corps est un tas de froment, Entouré de lis. (Cantique des Cantiques 7, 2)
Il étendait la main sur la coupe, faisait couler un peu du jus de la grappe et le répandait au pied de l'autel, parfum agréable au Très-Haut, roi du monde. (Ecclésiastique 50, 15)
Ton argent s`est changé en scories, Ton vin a été coupé d`eau. (Isaïe 1, 22)
Il en sera comme quand le moissonneur récolte les blés, Et que son bras coupe les épis; Comme quand on ramasse les épis, Dans la vallée de Rephaïm. (Isaïe 17, 5)
Toi qui envoies sur mer des messagers, Dans des navires de jonc voguant à la surface des eaux! Allez, messagers rapides, vers la nation forte et vigoureuse, Vers ce peuple redoutable depuis qu`il existe, Nation puissante et qui écrase tout, Et dont le pays est coupé par des fleuves. (Isaïe 18, 2)
Mais avant la moisson, quand la pousse est achevée, Quand la fleur devient un raisin qui mûrit, Il coupe les sarments avec des serpes, Il enlève, il tranche les ceps... (Isaïe 18, 5)
En ce temps-là, des offrandes seront apportées à l`Éternel des armées, Par le peuple fort et vigoureux, Par le peuple redoutable depuis qu`il existe, Nation puissante et qui écrase tout, Et dont le pays est coupé par des fleuves; Elles seront apportées là où réside le nom de l`Éternel des armées, Sur la montagne de Sion. (Isaïe 18, 7)
Ma demeure est enlevée et transportée loin de moi, Comme une tente de berger; Je sens le fil de ma vie coupé comme par un tisserand Qui me retrancherait de sa trame. Du jour à la nuit tu m`auras achevé! (Isaïe 38, 12)
Il se coupe des cèdres, Il prend des rouvres et des chênes, Et fait un choix parmi les arbres de la forêt; Il plante des pins, Et la pluie les fait croître. (Isaïe 44, 14)
Réveille-toi, réveille-toi! lève-toi, Jérusalem, Qui as bu de la main de l`Éternel la coupe de sa colère, Qui as bu, sucé jusqu`à la lie la coupe d`étourdissement! (Isaïe 51, 17)
