18. Si, le troisième jour, quelqu'un mange de la viande d'un sacrifice de communion, ce sacrifice ne sera pas agréé: il ne vaudra pas pour celui qui l'a offert. C'est une action mauvaise, et celui qui en aura mangé portera le poids de son péché.





“O demônio é forte com quem o teme, mas é fraquíssimo com quem o despreza.” São Padre Pio de Pietrelcina