Katholische Bibel
 

1 Samuel, 25

15. Et pourtant ces gens ont été très bons pour nous; ils ne nous ont fait aucun outrage, et rien ne nous a été enlevé, tout le temps que nous avons été avec eux lorsque nous étions dans les champs.

Verse im Zusammenhang mit 1 Samuel, 25:

1 Samuel 25 raconte l'histoire d'Abigail, épouse de Nabal, un homme grossier et stupide qui refuse d'aider David et ses hommes dans un moment de nécessité. Abigail, à son tour, prend l'initiative de fournir de la nourriture et des fournitures à David, évitant ainsi une guerre entre son mari et le futur roi. Les versets suivants sont liés aux sujets abordés dans ce chapitre:

Proverbes 15:1: "La réponse légère détourne la fureur, mais le mot dure soulève la colère." Abigail est un exemple de la façon dont une réponse aimable peut éviter les conflits et promouvoir la paix.

Proverbes 21:9: "Il vaut mieux vivre dans un coin de toit que d'avoir comme compagnon dans une grande maison une femme querelleuse." Nabal est un exemple d'un homme grossier et querelle qui se retrouve dans une situation dangereuse en raison de son comportement.

Proverbes 25:21-22: "Si votre ennemi a faim, donnez-lui du pain à manger; et s'il est soif, donnez-lui de l'eau à boire; car tu t'ouvre-t-tu des braises vivantes sur sa tête, et le Seigneur te récompensera." Abigail démontre la générosité et la compassion en fournissant de la nourriture et des fournitures à David et à ses hommes, même s'il savait que son mari était un homme grossier et stupide.

Ecclésiastes 7:9: "Ne vous précipitez pas dans votre esprit à la colère, car Wrath repose dans les imbéciles." David montre la sagesse en refusant de riposter contre Nabal et ses hommes, bien qu'il ait été insulté et manqué de respect.

Romains 12:19: "Vous ne vous vengerez pas, bien-aimée, mais donnerez la colère de Dieu, car il est écrit, ma vengeance est une vengeance; je récompenserai, dire le Seigneur." David fait confiance à Dieu pour faire face à ceux qui l'offensent, au lieu de se venger de lui-même.





“Temos muita facilidade para pedir, mas não para agradecer”. São Padre Pio de Pietrelcina