Encontrados 1590 resultados para: vie après la mort

  • Que même les prêtres, qui s'approchent de Yahweh, se sanctifie, de peur que Yahweh ne les frappe de mort." (Exode 19, 22)

  • Yahweh lui dit : "Va, descends, tu remonteras ensuite avec Aaron ; mais que les prêtres et le peuple ne rompent point la barrière pour monter vers Yahweh, de peur qu'il ne les frappe de mort." (Exode 19, 24)

  • Si elle déplaît à son maître, qui se l'était destinée, il permettra qu'on la rachète ; mais il ne pourra pas la vendre à des étrangers, après lui avoir été infidèle. (Exode 21, 8)

  • Celui qui frappe un homme à mort doit être mis à mort. (Exode 21, 12)

  • Celui qui frappe son père ou sa mère doit être mis à mort. (Exode 21, 15)

  • Celui qui dérobe un homme, soit qu'il le vende, soit qu'on le retrouve entre ses mains, doit être mis à mort. (Exode 21, 16)

  • Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort. (Exode 21, 17)

  • Lorsque des hommes se querellent, et que l'un en frappe un autre avec une pierre ou avec le poing, sans causer sa mort, mais en l'obligeant à tenir le lit, (Exode 21, 18)

  • Si un boeuf frappe de sa corne un homme ou une femme, et que la mort s'en suive, le boeuf sera lapidé, on n'en mangera pas la chair, mais le maître du boeuf sera quitte. (Exode 21, 28)

  • Mais si le boeuf frappait de la corne depuis longtemps, et que son maître, en ayant été averti, ne l'ait pas surveillé, le boeuf sera lapidé, s'il tue un homme ou une femme, et son maître aussi sera mis à mort. (Exode 21, 29)

  • Si le boeuf d'un homme frappe de la corne le boeuf d'un autre homme, et que la mort s'en suive, ils vendront le boeuf vivant et s'en partageront le prix; ils se partageront aussi le boeuf tué. (Exode 21, 35)

  • Si un feu éclate et que, après avoir atteint les épines, il consume des gerbes, ou du blé sur pied, ou un champ, celui qui aura allumé l'incendie donnera un dédommagement. (Exode 22, 5)


“No tumulto das paixões terrenas e das adversidades, surge a grande esperança da misericórdia inexorável de Deus. Corramos confiantes ao tribunal da penitência onde Ele, com ansiedade paterna, espera-nos a todo instante.” São Padre Pio de Pietrelcina