Encontrados 1104 resultados para: règne de David

  • Saül brandit sa lance, disant en lui-même: « Je frapperai David et la paroi »; mais David se détourna de devant lui par deux fois. (1 Samuel 18, 11)

  • Saül craignait David, car Yahweh était avec David et s'était retiré de Saül, (1 Samuel 18, 12)

  • et Saül l'éloigna de sa personne, et il l'établit chef de mille hommes; et David sortait et rentrait devant le peuple. (1 Samuel 18, 13)

  • David se montrait habile dans toutes ses entreprises, et Yahweh était avec lui. (1 Samuel 18, 14)

  • mais tout Israël et Juda aimaient David, parce qu'il sortait et rentrait devant eux. (1 Samuel 18, 16)

  • Saül dit à David: « Voici que je te donnerai pour femme ma fille aînée Mérob; seulement montre-toi plein de vaillance et soutiens les guerres de Yahweh. » Or Saül se disait: « Que ma main ne soit pas sur lui, mais que sur lui soit la main des Philistins! » (1 Samuel 18, 17)

  • David répondit à Saül: « Qui suis-je et qu'est-ce que ma vie, qu'est-ce que la famille de mon père en Israël, pour que je devienne le gendre du roi? » (1 Samuel 18, 18)

  • Mais, au moment de donner Mérob, fille de Saül, à David, on la donna pour femme à Hadriel de Molathi. (1 Samuel 18, 19)

  • Michol, fille de Saül, aima David. On en informa Saül, et cela lui plut. (1 Samuel 18, 20)

  • Saül se disait: « Je la lui donnerai, afin qu'elle soit pour lui un piège, et que la main des Philistins soit sur lui. » Et Saül dit à David, pour la seconde fois: « Tu vas aujourd'hui devenir mon gendre. » (1 Samuel 18, 21)

  • Et Saül donna cet ordre à ses serviteurs: « Parlez confidentiellement à David, et dites-lui: Le roi t'a pris en affection, et tous ses serviteurs t'aiment; sois donc maintenant le gendre du roi. » (1 Samuel 18, 22)

  • Les serviteurs de Saül dirent ces paroles aux oreilles de David, et David répondit: « Est-ce peu de chose à vos yeux que de devenir le gendre du roi? Moi, je suis un homme pauvre et d'humble origine. » (1 Samuel 18, 23)


“Deve-se caminhar em nuvens cada vez que se termina uma confissão!” São Padre Pio de Pietrelcina